Lueur d'une Chandelle - Tuesday Lobsang Rampa

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T. LOBSANG RAMPA LUEUR D'UNE CHANDELLE
(Édition : 17/12/2016,
paru précédemment sous le titre
Les lumières de l'astral)
Lueur d'une Chandelle - (1973) Dans ce livre Lobsang nous parle des
pendules et comment les utiliser, du zodiac et de l'astrologie. Également,
le Dr Rampa transcrit une précédente rencontre avec la presse - rencontre
organisée par son ami Alain Stanké. De nouvelles questions et réponses sur
de nombreux mystères de la vie.
[pic]
Mieux vaut allumer une chandelle
que maudire l'obscurité.
"Sur terre, les lois ne sont pas faites pour
l'individu, mais pour la majorité..."
Dans ce livre, T. Lobsang Rampa s'efforce d'expliquer les lois et leurs
conséquences - qu'on les respecte ou qu'on les enfreigne. Pour le Dr Rampa,
l'existence sur cette terre est une école, et chaque créature, un élève de
cette école. Les désobéissants mettront plus longtemps à obtenir leur
diplôme que ceux qui sont animés du désir d'apprendre. Pour ceux-ci, la
récompense est la montée vers un niveau plus élevé où ils auront de
nouvelles choses à apprendre, et moins de difficultés à surmonter. Le
chemin de la connaissance et du bonheur peut être au bout de la plus
obscure des nuits, mais la Lueur d'une Chandelle rendra votre progression
plus facile.
À Bernard Gobeille
- Canadien français -
un ami de longue date Table des matières Table des matières 3
LUEUR D'UNE CHANDELLE 4
D'UN ADMIRATEUR 5
CHAPITRE UN 6
CHAPITRE DEUX 34
CHAPITRE TROIS 58
CHAPITRE QUATRE 83
CHAPITRE CINQ 107
CHAPITRE SIX 132
CHAPITRE SEPT 175
CHAPITRE HUIT 195
CHAPITRE NEUF 221
CHAPITRE DIX 248 LUEUR D'UNE CHANDELLE La lueur vacillante de quatorze petites Chandelles luit désormais dans le
monde, apportant un peu de la Lumière du savoir astral à un nombre infini
d'individus.
La Lumière du soleil est en déclin. La fin du Jour arrive avec rapidité.
Furtivement et traîtreusement, l'Obscurantisme du communisme s'apprête à
faire sombrer le monde.
Bientôt, la Lumière de la Liberté s'éteindra pour un temps, tandis que
l'Humanité méditera sur les occasions perdues et regrettera de n'avoir pas
tenu compte des avertissements.
Mais, même à l'heure la plus sombre, la lueur des petites Chandelles sera
là pour apporter l'espoir à un monde frappé. L'heure la plus noire précède
l'aube, et cette heure n'est pas encore là.
La mélancolie et l'accablement provoqués par l'usurpation du pouvoir
seront atténués par la notion que toute souffrance finira un jour ou
l'autre et que le Soleil, à nouveau, brillera.
La Lueur d'une Chandelle peut, pour certains, être l'illumination et pour
d'autres, l'espoir. La Lumière du soleil fait place à l'obscurité et
l'obscurité cède la place au Soleil ; mais, même au coeur de l'obscurité la
plus absolue, une Chandelle peut suffire à montrer le Chemin. D'UN ADMIRATEUR "Vous êtes vieux, Père Rampa, s'exclama le Jeune Homme,
Et pendant trop longtemps la Presse vous a diffamé.
Les Chandelles que vous avez allumées brillent partout
Rayonnant la lumière comme une Étoile accueillante."
"Vous êtes vieux, Père Rampa, dit le Jeune Homme.
Mettez de côté votre dactylo, il serait temps de mourir.
Votre vie a été dure et vos expériences sinistres,
Mais les Chandelles que vous avez allumées ne faibliront jamais !"
"Vous êtes vieux, Père Rampa, dit le Jeune Homme.
Vos Chandelles flamboieront longtemps après votre mort.
Les Vérités que vous avez enseignées enrichiront notre chemin,
Les épreuves que vous avez endurées ; était-ce trop chèrement payé ?"
Libéré de la souffrance, libéré de la douleur,
Libéré des soucis de 'demain',
Libéré des fatigues de cette mauvaise Terre,
Libéré du cycle de la re-naissance 'sans fin',
Votre flamme de vie vacille et s'éteindra un jour,
Mais les Chandelles que vous avez allumées vont nous montrer le Chemin !
(des excuses à tous ceux qui en méritent !) CHAPITRE UN Les nuages maussades accumulés dans le ciel couleur de plomb commencèrent
à crever. Sur les toits de Montréal, la pluie qui crépitait ne tarda pas à
ruisseler en petites rigoles couleur de suie qui allaient rejoindre les
caniveaux encombrés de bouts de papier. La pluie tombait maintenant en
tourbillonnant, masquant les ponts, les hauts immeubles laids, ainsi que le
Port lui-même.
Puis, les arbres se penchèrent soudain, déversant l'eau dont ils étaient
chargés, et à leur pied où poussait une herbe rare, de petites mares se
formèrent, couvertes d'écume. Au loin, la sirène d'un navire mugit
tristement, comme au désespoir d'avoir à entrer de nouveau à Montréal, la
Ville aux Deux Langues.
Derrière les vitres embuées, les chattes étaient assises, l'air morne, se
demandant si le soleil reviendrait jamais. Sur la chaussée inondée, une
copie en lambeaux d'un journal de langue française soufflée à sa place
légitime dans un égout, bloqua momentanément l'écoulement de l'eau, puis
disparut en tourbillonnant dans un bruit de gargouillis.
Moteur vrombissant, et projetant à chaque tour de roues des gerbes d'eau,
le vieil autobus bleu progressait avec peine et ne put éviter une ornière
dans laquelle il plongea avec fracas. Cahotant et faisant des embardées, il
avança avec difficulté dans l'obscurité, puis il tourna à droite et
disparut. Ce fut ensuite le vacarme du camion de la voirie, sa silhouette
monstrueuse à peine entrevue, puis - la Paix, à part le crépitement de la
pluie.
Se détournant de la fenêtre aux vitres embuées, le vieil homme assis dans
son fauteuil roulant chercha à tâtons le commutateur et alluma. Il jeta un
regard triste sur la pile de lettres auxquelles il devait encore répondre.
"Des questions - des questions - des questions, marmonna-t-il. Est-ce
qu'ils me prennent pour un bureau de bienfaisance, un conseiller en toutes
matières allant de la conception à la mort - sans oublier les informations
concernant l'autre monde ?"
Une des lettres était intéressante. Elle venait d'une 'dame' qui habitait
une grande ville des États-Unis et disait : "J'ai lu treize de vos livres.
Un bon auteur aurait dit tout cela et plus encore dans un demi-chapitre."
Ça alors, Madame, eh bien - Merci ! Mais - et voilà : une lettre très, très
furieuse d'une gangster du Mouvement de Libération des Femmes de Winnipeg.
Celle-là, pour sûr, ne me porte pas dans son coeur - elle pense que je
déteste les femmes. De toute façon, par son langage, elle s'apparente
davantage à un terrassier ivrogne qu'à une femme. Les femmes ? Je les aime.
Hommes et femmes : simplement les côtés opposés d'une 'pièce de monnaie'.
Pourquoi devrais-je les haïr ? Que certaines femmes sont donc
susceptibles !
Mais l'infime minorité n'a pas d'importance. La plupart - environ quatre
vingt dix-neuf pour cent (vrai) - sont sincèrement intéressées par ce que
j'écris, et elles 'aiment' littéralement mes Chandelles. Elles sont avides
d'en savoir toujours plus sur les aspects de la métaphysique. Comment se
fait la lévitation, comment se fait la téléportation, comment faire ceci et
comment faire cela.
Un bon nombre de gens deviennent de plus en plus intéressés par la
radiesthésie et les pendules. J'ai ici la lettre d'une personne qui a vu un
homme marchant à travers un champ, et soudain le bâton fourchu que l'homme
tenait à la main a donné une violente secousse. Ce correspondant me dit que
cette personne était un sourcier et me demande si je pourrais, s'il vous
plaît, dire s'il y a quelque chose de vrai dans cette affaire de sourcier
et d'utilisation d'un pendule.
Oui, la radiesthésie est définitivement quelque chose d'authentique - si
l'on sait comment se servir d'une baguette de coudrier (ancien nom du
noisetier - NdT) ou de tout autre rameau fourchu. Il en va de même avec les
pendules, à condition que son utilisateur sache exactement ce qu'il fait et
ne se livre pas à un numéro uniquement destiné à impressionner les naïfs.
Il s'agit d'abord de savoir ce qui fait travailler ces choses. La radio,
devenue de nos jours un lieu commun, nous a rendu accessible l'idée qu'il
existe certains courants, ou certaines ondes, qu'une personne ne peut pas
détecter sans un intermédiaire. Par exemple, un terrible brouhaha se
produit en permanence au-dessus de nos têtes, brouhaha que, heureusement,
nous ne pouvons entendre, et qui est celui des ondes arrivant de partout -
AM, FM, Ondes Longues, Ondes Courtes, Hautes Fréquences, et Ultra-Hautes
Fréquences. Pour le commun des mortels elles peuvent tout aussi bien ne pas
être là parce que sans un appareil spécial ou des conditions spéciales, on
ne peut tout simplement pas les percevoir. Mais - plaçons une mystérieuse
pièce d'équipement entre les ondes qui arrivent et le haut-parleur ou le
tube de télévision, et nous obtenons le son ou nous obtenons l'image. Cette
mystérieuse pièce d'équipement est habituellement en connexion avec une
matière (l'antenne) qui reçoit les ondes qui arrivent et les envoie ensuite
à l'intérieur de la mystérieuse boîte où toutes sortes de fils, de petits
morceaux de cuivre et de mica ou de papier, etc., débrouillent tout le méli-
mélo et 'détectent' un signal cohérent. Celui-ci passe ensuite dans une
autre section de la boîte où il est amplifié et où