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Les compétences nécessaires à l'exercice du métier. 1.4. ...... CPF Conseil
Permanent de la Francophonie ...... mais il est important que les erreurs
commises soient finalement corrigées, que ce soit sur le champ ou de manière
différée, ...

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( OBJECTIFS :
. Etre capable d'identifier l'emploi du passé simple
. Pouvoir identifier sa formation
. Pouvoir le reconnaître dans une phrase et pouvoir conjuguer les verbes
au passé simple.
( COMPÉTENCES :
. ECOU : Interpréter des unités lexicales et grammaticales.
. LIR : Percevoir la cohérence entre phrases et groupes de phrases.
. ECR : Associer les unités lexicales et grammaticales au sein de la
phrase. ( SENSIBILISATION JOUR 1
(Matériel : CD conte « Les lutins cordonniers » - bandelettes du conte) ( Écouter le conte « Les lutins cordonniers ».
( S'imprégner du contenu de l'histoire.
( Distribuer les bandelettes des paragraphes du conte (1 enveloppe par
équipe) et demander aux enfants de les remettre dans l'ordre. (Par 2)
( Circuler pour vérifier le classement des enfants.
( 2ème écoute : Support pour les Es en difficulté. ( Vérification du
classement ( COMPREHENSION/ MEMORISATION JOUR 2
(Matériel : texte lacunaire du conte « Les lutins cordonniers ») ( Reprendre l'histoire avec les verbes conjugués enlevés.
( Les enfants reçoivent chacun le texte du conte dans lequel les
verbes conjugués au passé simple ont été enlevés.
( Replacer les verbes dans les trous. + Correction orale/collective. ( STRUCTURATION JOUR 3
(Matériel : texte du conte « Les lutins cordonniers ») ( Reprendre chaque verbe et les classer selon qu'ils appartiennent au
premier, deuxième ou troisième groupe.
( Etablir une synthèse des différentes terminaisons + Bescherelle
( EXPLOITATION (PRODUCTION) ( Histoire toile d'araignée (oral)
( Les élèves sont assis à leur place et le professeur lui, reste
debout. Il tient dans ses mains une pelote de laine et donne le bout à un
élève. Il entame une histoire. Tout en racontant son histoire, il déroule
la pelote et se dirige vers un élève du cercle. Il s'assied à sa place,
tient le fil et passe la boule de laine à l'élève. A son tour, l'élève se
lève, raconte la suite de l'histoire, donne la pelote à un autre élève, ...
Petit à petit, une toile se tisse pour le plaisir de tous sauf du conteur
qui doit se libérer dans tous ces fils...
( Exemple d'un début d'histoire...
« Il était une fois, une affreuse sorcière qui vivait au milieu de la
forêt... ( Raconter une histoire à partir d'images (écrit)
( Les enfants reçoivent deux histoires sous forme d'images et doivent
inventer l'histoire en veillant à utiliser le passé simple.
( Réalisation des exercices
Il était une fois un cordonnier qui, par une suite de malchances, était
devenu très pauvre. Il lui restait à peine assez de cuir pour fabriquer une
seule paire de souliers. Il tailla donc ce cuir, puis comme il était déjà
tard, il alla se coucher.
Le lendemain, dès la première heure, il s'apprêtait à coudre les souliers
quand il trouva sur sa table les chaussures terminées. Surpris, il les
examina sous toutes les coutures : il n'y avait pas un seul point de
travers. C'était vraiment un travail magnifique.
Un client entra dans l'atelier et trouva les souliers si jolis qu'il les
paya plus cher que le prix habituel. Avec cet argent, le cordonnier acheta
du cuir pour fabriquer deux paires de chaussures.
Le soir, il tailla le cuir et, le lendemain, à son réveil, il trouva les
chaussures cousues. Il les vendit sans peine et cet argent lui permit
d'acheter du cuir pour quatre paires de chaussures. Mais il n'eut pas à les
coudre : il les trouva terminées à son réveil. Et il en fut de même les
jours suivants : les chaussures qu'il taillait le soir étaient toutes
prêtes au matin. La pauvreté disparut de sa maison. Un soir, aux environs de Noël, il tailla son cuir et dit à sa femme :
- Quelqu'un nous aide pendant la nuit. J'ai envie de veiller pour voir
de qui il s'agit.
- C'est une bonne idée, répondit sa femme.
Ils laissèrent une lumière allumée et se cachèrent dans le placard. Quand
minuit sonna, deux petits nains tout nus entrèrent dans l'atelier,
s'installèrent à la table de travail et, de leurs petites mains, se mirent
à battre le cuir et à le coudre. Ils travaillaient si vite et si bien qu'on
avait du mal à en croire ses yeux. Ils ne s'arrêtèrent que lorsque toutes
les chaussures furent terminées. Alors, ils disparurent d'un bond.
Le lendemain, la femme dit à son mari :
- Grâce à ces petits nains, nous sommes devenus riches. Il faut les
remercier. Ils doivent souffrir du froid, à se promener tout nus comme
cela. Sais-tu ce que nous allons faire ? Moi, je vais leur coudre à
chacun une chemise, une veste, un pantalon, et leur tricoter des
chaussettes ; toi, tu vas leur faire des souliers.
L'homme approuva sa femme et, le soir, au lieu des morceaux de cuir, ils
placèrent sur l'établi les vêtements et les chaussures. Puis ils se
cachèrent pour se mettre au travail.
Quelle surprise quand ils virent les jolis petits vêtements au lieu du
cuir ! Tout joyeux, ils s'habillèrent prestement et se mirent à chanter :
« Nous sommes si bien habillés
Finis le cuir et les souliers ! »
Puis ils commencèrent à danser, à sauter, sur les chaises et les bancs, et,
tout en bondissant, ils arrivèrent à la porte.
A partir de ce jour, ils ne revinrent plus. Le cordonnier continua seul son
travail et fut heureux le reste de ses jours.
Il était une fois un cordonnier qui, par une suite de malchances, était
devenu très pauvre. Il lui restait à peine assez de cuir pour fabriquer une
seule paire de souliers. Il tailla donc ce cuir, puis comme il était déjà
tard, il alla se coucher.
Le lendemain, dès la première heure, il s'apprêtait à coudre les souliers
quand il trouva sur sa table les chaussures terminées. Surpris, il les
examina sous toutes les coutures : il n'y avait pas un seul point de
travers. C'était vraiment un travail magnifique.
Un client entra dans l'atelier et trouva les souliers si jolis qu'il les
paya plus cher que le prix habituel. Avec cet argent, le cordonnier acheta
du cuir pour fabriquer deux paires de chaussures.
Le soir, il tailla le cuir et, le lendemain, à son réveil, il trouva les
chaussures cousues. Il les vendit sans peine et cet argent lui permit
d'acheter du cuir pour quatre paires de chaussures. Mais il n'eut pas à les
coudre : il les trouva terminées à son réveil. Et il en fut de même les
jours suivants : les chaussures qu'il taillait le soir étaient toutes
prêtes au matin. La pauvreté disparut de sa maison.
Un soir, aux environs de Noël, il tailla son cuir et dit à sa femme :
- Quelqu'un nous aide pendant la nuit. J'ai envie de veiller pour voir
de qui il s'agit.
- C'est une bonne idée, répondit sa femme.
Ils laissèrent une lumière allumée et se cachèrent dans le placard. Quand
minuit sonna, deux petits nains tout nus entrèrent dans l'atelier,
s'installèrent à la table de travail et, de leurs petites mains, se mirent
à battre le cuir et à le coudre. Ils travaillaient si vite et si bien qu'on
avait du mal à en croire ses yeux. Ils ne s'arrêtèrent que lorsque toutes
les chaussures furent terminées. Alors, ils disparurent d'un bond.
Le lendemain, la femme dit à son mari :
- Grâce à ces petits nains, nous sommes devenus riches. Il faut les
remercier. Ils doivent souffrir du froid, à se promener tout nus comme
cela. Sais-tu ce que nous allons faire ? Moi, je vais leur coudre à
chacun une chemise, une veste, un pantalon, et leur tricoter des
chaussettes ; toi, tu vas leur faire des souliers.
L'homme approuva sa femme et, le soir, au lieu des morceaux de cuir, ils
placèrent sur l'établi les vêtements et les chaussures. Puis ils se
cachèrent pour se mettre au travail.
Quelle surprise quand ils virent les jolis petits vêtements au lieu du
cuir ! Tout joyeux, ils s'habillèrent prestement et se mirent à chanter :
« Nous sommes si bien habillés
Finis le cuir et les souliers ! » Puis ils commencèrent à danser, à sauter, sur les chaises et les bancs, et,
tout en bondissant, ils arrivèrent à la porte.
A partir de ce jour, ils ne revinrent plus. Le cordonnier continua seul son
travail et fut heureux le reste de ses jours. Il était une fois un cordonnier qui, par une suite de malchances, était
devenu très pauvre. Il lui restait à peine assez de cuir pour fabriquer une
seule paire de souliers. Il ........................ donc ce cuir, puis
comme il était déjà tard, il ............................. se coucher.
Le lendemain, dès la première heure, il s'apprêtait à coudre les souliers
quand il ........................... sur sa table les chaussures terminées.
Surpris, il les examina sous toutes les coutures : il n'y avait pas un seul
point de travers. C'était vraiment un travail magnifique.
Un client ........................... dans l'atelier et trouva les souliers
si jolis qu'il les ....................... plus cher que le prix habituel.
Avec cet argent, le cordonnier ................................. du cuir
pour fabriquer deux paires de chaussures.
Le soir, il tailla le cuir et, le lendemain, à son réveil, il trouva les
chaussures cousues. Il les .............................. sans peine et cet
argent lui ............................... d'acheter du cuir pour quatre
paires de chaussures. Mais il n'........................... pas à les
coudre : il les trouva terminées à son réveil. Et il en fut de même les
jours suivants : les chaussures qu'il taillait le soir étaient toutes
prêtes au matin. La pauvreté .................................. de sa
maison. Un soir, aux environs de Noël, il tailla son cuir et dit à sa femme :
- Quelqu'un nous aide pendant la nuit. J'ai envie de veiller pour voir
de qui il s'agit.
- C'est une bonne idée,
.................................................... sa femme.
Ils ................................................ une lumière allumée et
se .........................