prevention active des cancers
Nouvelle édition, revue et corrigée. ... I ? La prévention générale du cancer est
possible et nécessaire. ..... à faire régulièrement de l'exercice physique, à éviter
de trop s'exposer au soleil (et aux UV artificiels), et enfin ...... C'est ainsi qu'une
carence en fer favorise une forme de cancer de la gorge en Suède, une carence
en ...
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Docteur Jean-Claude Meuriot
Médecin inspecteur général de Santé Publique honoraire Docteur Jacques Lacaze
Diplômé de cancérologie
POUR UNE POLITIQUE PUBLIQUE DE
PREVENTION ACTIVE DES CANCERS LES PROPOSITIONS DU DOCTEUR ANDRE GERNEZ
Nouvelle édition, revue et corrigée.
AVERTISSEMENTS - L'éditeur et les auteurs dégagent toute responsabilité en ce qui concerne
les propositions de remèdes et de thérapies décrites dans cet ouvrage,
celles-ci étant données à titre d'information. Elles ne peuvent se
substituer à une prescription personnalisée venant d'un professionnel de la
santé. L'Association Pour André Gernez (APAG) pourra transmettre à votre
médecin les informations lui permettant de proposer une prévention active
adaptée à chaque cas.
- Le Docteur André Gernez, les médecins qui le soutiennent depuis des
décennies et l'APAG, souhaitent que cette information puisse être
distribuée normalement à la communauté scientifique. Pour nous, la
diffusion sans restriction de données scientifiques, le débat sur les
sciences est un grand combat de ce siècle. C'est pourquoi nous réclamons
que les propositions du Docteur Gernez soient examinées et expérimentées
loyalement.
- Nous remercions vivement les médias qui nous font l'honneur de diffuser
les informations provenant du Docteur André Gernez ou de l'APAG, et qui le
font d'une façon objective. C'est pourquoi, nous souhaitons très vivement
que nos publications - ainsi que celles de nos amis - ne fassent pas
l'objet d'une utilisation partisane ou commerciale. Editions de la Nouvelle Renaissance
199, rue Emile Zola
62800 Liévin
editions.nouvellerenaissance@gmail.com ISBN 979-10-90630-00-0 Couverture : Etienne Brault.
Rédaction, mise en page et corrections réalisées bénévolement.
Reproduction autorisée, en indiquant la source et en prévenant l'éditeur. Table des matières Introduction
Première partie :
LES CANCERS : PROBLEME MAJEUR DE SANTE PUBLIQUE
I - Incidence et mortalité par cancer en France.
II - Santé publique et prévention.
III - La santé communautaire.
IV - La prévention active.
V - Les politiques actuelles de lutte contre les cancers. Deuxième partie :
LE MECANISME DE LA CANCERISATION : BREF EXPOSE DE LA THEORIE DE GERNEZ
I - Révision d'un dogme.
II - Dynamique des cellules cancéreuses.
III - Les étapes de la cancérisation.
IV - Signification biologique des étapes essentielles de la croissance d'un
cancer.
Troisième partie :
PREVENTION ACTIVE DES CANCERS : PRINCIPES ET PRATIQUE I - La prévention générale du cancer est possible et nécessaire.
1 - L'action contre le cancer doit s'effectuer à son stade initial.
2 - Comment attaquer un cancer à une période où il est encore invisible
?
3 - A-t-on la confirmation de l'efficacité d'une telle méthode ?
II - Agir contre les facteurs favorisant l'émergence d'un cancer.
1 - Les cellules mutées sont au départ très fragiles.
2 - Les causes, les facteurs favorisants.
3 - Principe incontournable : agir avant la masse de non-retour.
III - Phase orthoplasique de la prévention des cancers. 1 - Réduction alimentaire. 2 - Rôle de l'acidose métabolique.
3 - Supplémenter en « substances vitales » : vitamines et oligo-
éléments.
4 - L'oxygénation. - Conclusions. IV - Chasse terminale des micro-cancers. Quatrième partie :
PREVENTION ACTIVE DES CANCERS : LES REGLES A OBSERVER EN PRATIQUE I - Renouveler la cure annuellement.
II - La cure doit durer le temps suffisant.
III - La meilleure époque pour pratiquer la cure anti-cancer est le début
du printemps et de l'automne.
IV - A quel âge ? V - Eviter durant la cure les facteurs susceptibles de favoriser les
cellules cancéreuses. VI - Perte de poids et régime à observer durant la cure.
VII - L'oxygénation.
VIII - Les complémentations en vitamines et oligo-éléments.
IX - La chasse terminale des micro-cancers.
X - Les protocoles de prévention active.
Bibliographie
En supplément : A PROPOS DE L'HORMONE DE CROISSANCE.
INTRODUCTION Les cancers sont la première cause de mortalité en France. L'incidence des
cancers a doublé en 30 ans et la mortalité a augmenté d'environ 13%. La
maladie cancéreuse représente donc un problème majeur de santé publique. Le
cancer concerne, a concerné ou concernera chacun d'entre nous. De nombreux
plans de lutte contre ce fléau ont été mis en place. La faillite, des
recherches et politiques entreprises pour prévenir et guérir les cancers,
est régulièrement constatée. Les appels à la charité publique contre cette
maladie sont tout aussi régulièrement organisés, et le message central
reste le même : « la recherche avance. » Cette faillite est constatée par
de nombreuses autorités scientifiques, médicales ou politiques.[1]
Le but de ce travail est d'examiner le problème d'un point de vue de santé
publique, puis de poser la question la plus fondamentale, est-il possible
de prévenir le cancer ? Et si la réponse est oui, il faut s'y mettre sans
tarder ! Il faut se mobiliser pour que soit mise en place une vraie et grande
politique publique de prévention générale du cancer. La découverte par le Docteur André Gernez (à la fin des années soixante) du
mécanisme cellulaire de la cancérogenèse et de la cancérisation,[2] ouvre
aujourd'hui une voie de prévention des cancers qu'il est urgent d'explorer.
La théorie de Gernez sera exposée dans ses grandes lignes, puis les
principes d'une proposition de prévention active des cancers. La validation
de cette prévention et son éventuelle mise en ?uvre est du domaine de la
santé publique, donc de l'institution médico-scientifique et des autorités
publiques de la santé. Comme cette mise en ?uvre est accessible à tout le monde, nous en
proposerons les grandes lignes.
La prévention reste la voie royale dans la lutte contre les maladies qui
ont l'incidence des cancers. Dans une première partie, nous allons examiner
ce qu'est la prévention (et ce qu'elle n'est pas), comment ça fonctionne,
ce qu'il faut en attendre, qui elle concerne, si les politiques mises en
place actuellement répondent aux nécessités de la lutte contre les cancers,
bref il sera question de santé publique au sens fort du terme. Première partie : LES CANCERS :
PROBLEME MAJEUR DE SANTE PUBLIQUE I - Incidence et mortalité par cancer en France. Dans les années 70, en France, 110.000 personnes décédaient d'un cancer
tous les ans et 150.000 nouveaux cancers étaient diagnostiqués.
Qu'en est-il aujourd'hui ? Voici les données officielles de l'Institut de
veille sanitaire[3] qui ont été publiées en décembre 2008 :
- en 1980, 170.000 nouveaux cancers, en 2005, 320.000 cas soit une
augmentation de 89%,
- en 1980, il y a eu 130.000 décès enregistrés, en 2005, c'est 146.000
personnes qui décédaient, plus 13%.
Comment expliquer cette forte augmentation de l'incidence des cancers ?
- La première explication retenue est que le dépistage permet une
augmentation du nombre de cas diagnostiqués. Cette explication est
discutable : un des effets du dépistage est de diminuer le nombre de
cancers diagnostiqués à un stade évolués et d'augmenter la proportion des
cancers décelés à un stade localisés voire in situ (cancers au tout premier
stade de détection possible). A conditions équivalentes, il n'y a pas
d'augmentation du nombre total de cancers diagnostiqués.[4]
- L'augmentation de l'espérance de vie de la population est un autre
facteur important et plus crédible. Il s'agit d'une moyenne incluant les
décès du début à la fin de la vie. L'augmentation de l'incidence des
cancers concerne l'ensemble de la population quel que soit son âge. Pour
les personnes âgées, l'incidence des cancers diminue après 85 ans, tandis
que la mortalité continue à augmenter. (Voir la figure page 39.) - Majoration des déterminants - ou facteurs de risques - liés à
l'environnement.[5] C'est sans nul doute les facteurs les plus importants,
tous les auteurs sont d'accord sur cette réalité. On découvre quasi
quotidiennement de nouveaux facteurs.[6] Même si le nombre de décès est moindre,[7] la croissance du nombre
de cas de cancers est donc très importante.
La prévention reste la vraie solution.
II - Santé publique et prévention.[8]
Pour l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), « La santé est un état de
complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement
en une absence de maladie ou d'infirmité. » C'est la définition de 1946.
Et c'est depuis la Libération que la santé publique a connu un très grand
essor. Notons que « l'absence de maladie » est aujourd'hui un problème
complexe dans l'état actuel des connaissances scientifiques : on sait que
beaucoup de maladies, comme les cancers, évoluent silencieusement durant
des années sans être diagnosticables ni perçues par la personne qui en est
victime. Nous reviendrons sur cette notion très importante.
Les spécialistes de santé publique distinguent trois niveaux de prévention
: a - La prévention primaire.
Elle consiste à faire en sorte que la santé n'entre pas dans un cycle
d'altération, même bien sûr, si le processus en cours, n'est pas perçu par
la personne. Cla