sites genocide armenien - Collectif VAN

27 mars 2009 ... L'exercice est délicat. ..... "Si c'est un homme" de Primo Levi ou du Journal d'
Anne Frank, relatant la ...... proche du Saint-Siège, Civilta Cattolica, l'analyste
italien Giuseppe ...... Fêtons ensemble les 10 ans de la DA-connexion

Part of the document

A LA MEMOIRE DES 1 500 000 VICTIMES ARMENIENNES
24 Avril 2008 : 93ème anniversaire du génocide arménien de 1915
perpétré par le gouvernement Jeune-Turc
93 ans de déni : ça suffit !
-------------------------------------------------------------------
1
2
3
4 VEILLE MEDIA
Vendredi 27 Mars 2009 Retrouvez les news sur :
http://www.collectifvan.org
5 GENOCIDE ARMENIEN
Revue L'Histoire N°341 : Génocide arménien
Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Environ 30 000 Turcs ont signé
à ce jour une pétition via Internet, qui est une demande de pardon aux
Arméniens. Cette initiative rend de plus en plus intenable l'occultation du
génocide arménien de 1915 par les autorités turques. Même si le tabou n'est
pas encore officiellement levé, il s'agit d'un véritable appel à la
conscience publique : aucune démocratie ne peut vivre sans affronter
ouvertement son histoire. Cet éveil collectif est aussi le résultat du
travail des chercheurs turcs qui ont su braver l'interdit nationaliste. :
la publication en France de l'ouvrage de Taner Akçam Un acte honteux. Le
génocide arménien et la question de la responsabilité turque a fait grand
bruit. A l'approche du 24 avril, date de commémoration et de deuil pour les
Arméniens, la revue L'Histoire publie l'article d'un autre historien turc,
Fuat Dündar, auteur de la thèse « L'ingénierie ethnique du Comité Union et
Progrès : la turcisation de l'Anatolie (1913-1918) ». La froideur de sa
démonstration rend les conclusions d'autant plus accablantes. La vérité en marche Par L'Histoire publié dans L'Histoire n°341 - 04/2009 avec l'article de Fuat Dündar "Génocide arménien : le scénario". Environ 30 000 Turcs ont signé à ce jour une pétition via Internet, qui est
une demande de pardon aux Arméniens. Cette initiative de quatre
intellectuels, Cengiz Aktar, Ali Bayramoglu, Ahmet Insel et Baskin Oran,
rend de plus en plus intenable l'occultation du génocide arménien de 1915
par les autorités turques. Même si le tabou n'est pas encore officiellement
levé, la démarche pétitionnaire est un événement. Il s'agit d'un véritable
appel à la conscience publique : aucune démocratie ne peut vivre sans
affronter ouvertement son histoire. Cet éveil collectif est le résultat en
partie des pressions internationales, mais aussi du travail des historiens,
des chercheurs turcs qui ont su braver l'interdit nationaliste. A l'automne
dernier, la publication en France de l'ouvrage de Taner Akçam Un acte
honteux. Le génocide arménien et la question de la responsabilité turque a
fait grand bruit. A l'approche du 24 avril, jour anniversaire de la rafle
de plusieurs centaines de notables arméniens d'Istanbul, date de
commémoration et de deuil pour les Arméniens, nous avons choisi de publier
un autre historien turc, Fuat Dündar. Après avoir soutenu à l'EHESS, à
Paris, une thèse sur ce sujet, il enseigne à l'université du Michigan. La
froideur de sa démonstration rend les conclusions d'autant plus
accablantes. L?intérêt et la nouveauté de sa démarche tiennent d'abord à sa méthode de
travail qui est celle de la démographie historique. A l'origine de la «
Grande Catastrophe », pour reprendre l'expression utilisée par les
Arméniens, il y a eu la volonté politique des Jeunes-Turcs, au pouvoir
depuis 1913, de « turciser » leur pays. A cette fin, tout était bon. Y
compris cette gigantesque opération d'« ingénierie ethnique », qui
consistait à diluer les minorités arménienne, mais aussi bulgare ou grecque
dans la population de l'empire en fixant des quotas par province censés
permettre leur assimilation à la nation turque. Dans cette affaire,
l'auteur cible la lourde responsabilité du ministre de l'Intérieur ottoman
Talat Pacha, grand organisateur d'une carte de la Turquie nouvelle qui
portait en elle tous les crimes. Des documents inédits, notamment des
télégrammes codés envoyés par Talat Pacha (et dont nous publions ici des
extraits), permettent de suivre quasiment au jour le jour les décisions de
déportation, et d'établir de façon un peu plus serrée quelle fut dans cette
tragédie la part prise par le gouvernement jeune-turc, par les gouverneurs
de province et, surtout, par la sinistre Organisation spéciale, qui, sur
place, perpétra les massacres de masse. Cette histoire du génocide arménien est encore en chantier. Des archives
restent à ouvrir ou à découvrir. Mais les recherches s'intensifient, le
scénario se précise, les points de vue se rapprochent, « la vérité est en
marche ». Notre dossier mensuel traite d'un sujet plus apaisé, mais pas forcément
moins controversé, celui de la République romaine, et de son évolution,
jusqu'à l'avènement et l'assassinat de César. Le débat a rebondi récemment
lorsqu'un auteur anglais a voulu y voir les véritables caractères de la
démocratie. De façon plus classique, nos auteurs concluent à une république
oligarchique, mais où rien ne pouvait se faire sans l'assentiment des
citoyens. Aux antipodes de nos régimes contemporains ? Voire !
Sommaire La Rome de César
L'HISTOIRE N°341 La République romaine était-elle une démocratie ?
Un dossier avec Jean-Michel David, Catherine Virlouvet et Claude Nicolet. Editorial : La vérité en marche Sommaire Au sommaire de ce numéro
AU LECTEUR La vérité en marche - L'Histoire ÉVÉNEMENT Génocide arménien : le scénario - Fuat Dündar Actualité Nathan Wachtel : l'écho des vaincus - Daniel Bermond Journaliste et
écrivain Les cent jours de Roosevelt - André Kaspi Professeur émérite à la Sorbonne Joano le ferrailleur - Pascal Ory Professeur à l'université Paris-I Les primitifs d'Altenbourg - Juliette Rigondet Journaliste Photos à scandale - Héloïse Kolebka Liberté, égalité, Brésil - Yves Saint-Geours Président du commissariat de
l'Année de la France au Brésil Wajda, Katyn au coeur - Daniel Bermond. « Cheurrri ! » - Antoine de Baecque Critique et historien du cinéma John Woo et la Falaise rouge - Olivier Thomas Suicide d'un ministre - Olivier Thomas Journaliste Les tempêtes des siècles - Emmanuel Garnier Maître de conférences (LSCE-
CEA, CRHQ-Université de Caen) Les larmes de Douch - Annette Wieviorka Directrice de recherches au CNRS Dossier Rome ou l'invention de la république Le vrai pouvoir des citoyens romains - Géraldine Soudri. Une visite au Forum César, le dernier républicain ? - Catherine Virlouvet Le miracle romain - L'Histoire Recherche Agendas d'un paysan normand - Philippe Madeline et Jean-Marc Moriceau L'empereur qui renonça au monde - Jacques Le Brun Raban Maur - Sumi Shimahara Feuilleton La révolution des journalistes - Jean-Noël Jeanneney Livres Citoyenne Ozouf - Mona Ozouf Mystères du Parthénon - François Queyrel, Bartillat Qu'est-ce qu'un crime ? - Michel Porret La griffe de Peugeot - Jean-Louis Loubet Foch sans masque - Jean-Christophe Notin Grande terreur - Nicolas Werth L'enfant du ghetto - Frédéric Rousseau Policiers français sous l'Occupation - Jean-Marc Berlière, avec Laurent
Chabrun Le nerf de l'histoire - Henry Laurens Roman national - Laurent Avezou Pauvres, les Français ? - Jacques Marseille La Rose et l'Edelweiss. Ces ados qui combattaient le nazisme, 1933-1945 -
Roger Faligot La France en Afrique. Cinq siècles de présence - Jean-Paul Gourévitch classique « Les Mandarins » de Simone de Beauvoir - Michel Winock Professeur émérite
à l'Institut d'études politiques de Paris Carte blanche Hommage - Pierre Assouline http://www.histoire.presse.fr/content/kiosque/article.html?id=9751 60e anniversaire de la Déclaration du Génocide le 27 mars 2009 A l'occasion du 60e anniversaire de la Déclaration du Génocide, l'Arménie a
retenu une chanson tirée d'un poème lituanien et dédié au Génocide des
Arméniens. Le texte traduit en arménien a été présenté par l'auteur lui-même Daniel
Erazhisht à Erevan et a été interprété par Kevork Khadgian. Selon le compositeur, la chanson observe une chronologie commencée à la
date tragique de 1915. « Le jour est proche où le triste A-Mineur sera
remplacé par la victoire "A-Major" en honneur à la reconnaissance
internationale du Génocide arménien » a souligné le compositeur. Retrouvez la chanson sur : http://www.aztagmedia.com/index.html
?menuID=0&flvID=0
http://france-armenie.net/spip.php?article284
6 TURQUIE Turquie : le DTP garde Diyarbakir et chante en arménien
Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Si le parti au pouvoir, l'AKP,
issu de la mouvance islamiste, conserve dans son giron, Ankara et Istanbul,
il perd néanmoins du terrain par rapport à 2004. Le DTP, (Parti pour une
Société Démocratique) sort vainqueur du scrutin dans la ville kurde de
Diyarbakir avec 65 % des voix. A noter, et c'est une première, que Akin
Birdal, le candidat du DTP aux élections municipales de la grande métropole
d'Istanbul, avait préparé une campagne électorale trilingue en turc,
arménien et kurde. Le groupe 'Kardes Turkuler' chante sur une vidéo de
propagande électorale une chanson connue du chanteur Onur Akin, originaire
de Bitlis mais ayant vécu à Istanbul. La chanson est réorchestrée comme une
marche en trois langues.
Elle parle d'Istanbul et son titre est 'Attend-nous Istanbul', "Les
combattants de la liberté vont gagner le combat contre l'injustice, attends-
nous Istanbul..."
Une deuxième voix chante en arménien (à partir du moment où l'on voit la
femme). Communique de presse Source : Amitiés kurdes de Bretagne
Porte parole: André Métayer Les "municipales" en Turquie, l'AKP reste en tête mais perd du terrain, le
DTP confirme et s'affirme comme force politique en pays kurde Publié le 30/03/09 RENNES/ROAZHON - Les quelques 48 millions d'électeurs qui étaient appelés à
vot