Société - Site de Jacki Pilon

The mini-clinical evaluation exercise (CEX) focuses on the core skills that
students demonstrate in patient encounters and presentations. You are required
to have a minimum of 2 completed MCEX forms (found on the back of your
feedback cards) completed during the rotation by a faculty preceptor, clinic
attending or ...

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Stéphane BOUDSOCQ
LA COMMUNICATION ORALE
A LA RADIO ET A LA TELEVISION
COMPTE-RENDU APM STRASBOURG ERASME Séance du 2 avril 2004
Stéphane BOUDSOCQ
La communication orale à la radio et à la télévision
Accueil chez SUPRA Les invités et les candidatures : Jacques KAMMERER, Daniel LEREAU, sont cooptés, et peuvent nous rejoindre
s'ils le désirent.
Invités : Michel WACH, présente succinctement son entreprise. Présentation de SUPRA l'accueillante : L'entreprise, après une remise en rentabilité, subit une série très
importante de transformations. Les flux de production ont été complètement
revus de manière à disposer de flux tirés qui partent, non plus du client,
mais de la conception du produit.
Tous les raisonnements de flux ont donc été revus ou sans en cours de
transformations.
15 % de réduction des coûts ont permis de ne pas « délocaliser ».
C'est une révolution à tous les étages, entamée depuis 3 - 4 ans, qui se
trouve dans une phase très intense.
Dans la série des révolutions, le nombre d'intérim que doit assumer Jean-
Loup PERTON explique une surcharge actuelle très importante.
Vie du Club Question d'actualité : Gérard Studer : Face à une hausse importante des produits métallurgiques
(30 à 40 %), quelle attitude en clientèle ?.
Réponse de Jean-Loup Perton : avoir une attitude très volontariste, et
malgré l'effet retard, monter les prix à la hausse, baisser les prix à la
baisse. La difficulté, c'est, bien sûr, la communication avec les clients
et la relation avec les GSB n'est pas simple à cet égard.
Les autres voies consistent à parler avec les concurrents, et à renforcer
le lobbying auprès des politiques.
En bref, attitude : COURAGE, COMMUNICATION, et TRANSPARENCE. Jacques Kammerer a vu une camionnette d'un artisan du bâtiment qui avait
affiché : « crise de l'acier, bombe à retardement ! ».
ARCELOR a organisé une réunion avec les principaux acheteurs, sans du tout
aborder les difficultés et uniquement consacrée à l'intérêt du commerce
avec la Chine. Jean-Loup Perton suggère qu'on fasse également pression sur les chambres
syndicales. Il a pris contact avec Pierre Evard dans cette perspective.
L'acier est en train de devenir un produit SPOT et une autre difficulté se
profile, la matière première va manquer (Rémy Stahl).
Les américains ont fait passer une hausse de 4 % d'une manière assez
habile, en créant une surtaxe de 4 % et, au moment où les clients râlent,
ils leur expliquent que cela durera tant que l'acier est à un tel niveau de
prix.
Rémi Du Pasquier rapporte une anecdote : « dans les parcs déchets, on
recommence à se faire piquer par les gitans l'acier et l'alu » !!!. Pour Gérard Studer, c'est plus un problème de structure du marché de
l'acier, qu'un problème conjoncturel.
Reste que la situation requiert en tout cas beaucoup de courage. Le trombinoscope : Philippe Schoen fait circuler la maquette et sera heureux de recueillir les
demandes de modifications ou de complément.
Témoignage de la séance précédente Le débriefing : Malgré son absence (voir SUPRA ( ), Jean-Loup Perton a cru comprendre qu'il
y avait une certaine inadéquation entre les attentes du club et les
compétences de l'expert. Un contact avec la programmatrice a permis de
faire remonter. Pour Philippe Schoen, l'expert n'a pas été capable de faire passer son
message. Pour Philippe Dulaey, les thèmes du matin l'ont intéressé, mais concernait
surtout des entreprises multinationales. Et, par contre, cela n'avait rien
à voir avec notre demande sur l'accélération.
Globalement, il s'est occupé juste de son fichier PowerPoint et s'arrêtait
sur le transparent où il y avait le mot « vitesse ». Jean-Pierre Chambolle, il y a trente ans a reçu les mêmes cours, par les
mêmes profs, sur des thèmes qui ne sont pas devenus forcément obsolètes
mais qui ne nous intéressaient pas forcément.
Il était brouillon et avait des méthodes assez détestables, mais la rupture
entre les temps quotidiens et les temps était très intéressante. Le contenu :
Rémy Stahl : pourrait-on en fin de séance donner quelques lignes pour
apprécier l'expert ?. Michel Perry : c'est une des missions de l'animateur. Pour chaque séance,
sa notation est adressée à l'APM et à l'expert.
Attention !, un point reste à améliorer : les échanges entre membres du
club. Jean-Louis précise aussi qu'il serait bon que ceux qui ont choisi un thème,
en début de l'intervention de l'expert, se fassent un peu l'écho du groupe
pour repréciser les demandes. Jean-Loup Perton souligne que très peu de membres font connaître leurs
questions comme le demande l'invitation. Et c'est le rôle de l'animateur,
dans la préparation de l'évoquer avec l'expert et faire le relais entre
demandes et personnalités. La traduction de nos demandes en expert de
Qualité et adapté est un des points clés de la pédagogie de l'APM.
Jean-Loup Perton souligne aussi que chaque adhérent n'a pas une demande
avec tous les experts, et l'adhérent, dans son contrat avec le club,
accepte de participer et d'écouter des séances avec des experts qu'il n'a
pas choisis.
Notre expert du jour, dans ce débat, précise que les demandes très précises
d'un club il ne les reçoit pas. Mais il profite des échanges, des pauses et
du déjeuner pour les entendre et y répondre quand il peut. Stammtisch, par Philippe Schoen : Quelques points négatifs : d'abord un nombre d'inscrits très supérieur au
nombre de présents, un intervenant parlant assez mal le Français et un plan
de table pas très bien conçu.
Quant à Philippe Schoen, il est heureux si on est peu nombreux, mais qu'il
se passe quelque chose !.Par contre, il faut tenir ses engagements, si on
dit qu'on vient, il FAUT venir ou prévenir avant la dernière minute.
( Jacki Pilon aimerait que l'intervention commence un peu plus tard.
Séance de travail
Présentation :
ANCHORMAN à RTL, sur les séquences informations du matin à partir de 5
heures. Il s'agit d'accompagner les différentes séquences.
Une séance en deux temps, une présentation de quelques points préalables et
théoriques sur comment fonctionne une rédaction de radio et, ensuite, un
travail pratique de chacun sur la façon dont vous réagissez en situation
d'interview. Vous pourrez être confronté à des gens qui ne font pas leur métier avec
déontologie, mais je m'efforcerais de vous montrer comment ça devrait se
passer. Introduction : On vient vous voir, soit parce qu'il y a une bonne nouvelle : lancement de
produit, ouverture de sites, performances..., soit pour une mauvaise
nouvelle : catastrophe, grève, accident. Dans tous les cas, il faut que vous, en tant que dirigeant, ayez un message
à faire passer, qui soit le plus positif possible. Trouvez toujours un
positif, actuel ou futur !.
Si vous êtes dans un groupe, il est essentiel de le bétonner par rapport au
groupe.
Evitez toujours de devenir agressif ou humoristique ou ironique, ils ont du
répondant et savent vous titiller.
Rappelez-vous aussi qu'il y a un droit de réponse ; vous pouvez toujours
appelez et exigez un rectificatif, même s'il est moins lu, ou même
accompagné de commentaires. Philippe Schoen demande si on peut aussi travailler sur le symbole, exemple
la pollution d'un pétrolier est marginale par rapport à la population
quotidienne d'une ville !. L'expert conseille, en cas de catastrophes, de toujours penser à se mettre
du côté des victimes. Rémy Stahl : comment éviter que le journaliste cite textuellement une
phrase « maladroite » ?. On ne peut, en cela, que compter sur la bonne foi
de l'interlocuteur, et donc sur la qualité de vos relations.
Réponse : Pour les gens du spectacle, les entretiens se font souvent en
présence d'un avocat ou d'un attaché de presse.
Un journaliste radio peut facilement vous faire réécouter le sujet pour
correction éventuelle.
Mais, quand même, il y a peu de tueurs dans la presse française.
Rémy Stahl a souvent mal vécu les interviews télévisées. Conseil de l'expert : sans aller jusqu'à un dossier de presse - Bible,
rédigez un document concernant les quelques messages et chiffres que vous
voulez vraiment faire passer. Pour Philippe Schoen : si on prépare bien quelques phrases clés (ou
titres), elles sont en général reprises !.
Jacki Pilon indique qu'il n'est d'ailleurs pas interdit de répéter vos
formules.
Et l'expert confirme que les quelques phrases préparées et répétitives
passent bien. Rémy Stahl souligne que, dans les cas d'imprévu, c'est toujours plus
difficile et bien sûr toujours plus risqué, soit vis à vis de la DRIRE,
soit de votre assureur. Comment ne pas déraper ?.
Sur un accident, selon l'état de l'entreprise, la presse pourra accéder
directement ou pas. Et vous devez vous donner un temps AVANT de recevoir la
presse. Prenez ce temps pour dialoguer avec les responsables dans
l'entreprise et faire le point. A vous de faire tout ce qui est en votre
pouvoir pour contrôler l'information.
Ne fermez pas la porte, mais donnez vous le temps de préparer. Philippe Schoen : que faîtes-vous quand un malfaisant vous donne une fausse
information du style « depuis
5 ans, dans cette boîte, il se passe des choses pas claires... » ?.
Pour Stéphane Boudsocq : la fausse inform