Débuts du chaos? - Td corrigé

7 sept. 2013 ... Les Exercices de Saint-Ignace pour former des troupes d'élite ...... 69 Drumont
Édouard, Le Testament d'un Antisémite, p. ...... Du second procès de Luis de
Carvajal, intenté à la fin du XVIème siècle ...... mais parce qu'il a juré au censeur
avoir corrigé son texte, sans le faire : on l'a cru sottement sur parole).

Part of the document






« Débuts du chaos-1... » ( en vrac )

Le programme Iter franchit une nouvelle étape mardi et sort du virtuel
2006-11-20
MARSEILLE (Source certifiée)
Le programme international de fusion thermonucléaire Iter franchit mardi
une étape très importante de sa réalisation avec la signature à Paris de
l'accord international fixant le cadre juridique et financier de la
coopération entre les sept partenaires internationaux.
La cérémonie de signature aura lieu à l'Elysée après une allocution du
président Jacques Chirac.
Cet accord parachève l'accord politique signé le 28 juin 2005 entre
l'Europe, les Etats-Unis, la Russie, le Japon, la Chine, et la Corée du sud
auxquels s'est jointe en décembre 2005 l'Inde, au bout de plusieurs années
de difficiles négociations, notamment sur le lieu d'implantation du futur
réacteur.
Pour certains partenaires, l'accord devra encore être ratifié par les
parlements nationaux dans les six mois, mais désormais le programme va
"sortir du virtuel" pour exister financièrement et juridiquement, souligne
une source proche du dossier.

Après l'installation ces derniers mois des multiples structures tant
nationales qu'internationales chargées de la mise en place du projet,
désormais "on entre dans le vif du sujet". La construction du réacteur
prendra dix ans et sa mise en exploitation est attendue pour 2018.
Le programme Iter (International Thermonuclear Experimental Reactor) doit
permettre des recherches sur la fusion nucléaire, une solution de rechange
à la fission, en visant à reproduire ce qui se passe au coeur du soleil. Un
kilogramme de combustible de fusion permet de produire une énergie
équivalente à environ 10 millions de litres de pétrole, indiquent les
experts.
Les scientifiques se donnent 40 ans pour aboutir à une production
industrielle, soit à la fin programmée des réserves pétrolières dans le
monde.
Fer de lance du programme, l'agence Iter international, présidée par le
Japonais Kaname Ikeda, a déjà pris ses quartiers à Cadarache (Bouches-du-
Rhône), lieu d'implantation du futur réacteur où une soixantaine de
scientifiques - sur le millier attendu à terme - sont déjà à pied d'oeuvre
dans des locaux provisoires.
Le site, au milieu de la garrigue à une centaine de kilomètres de
Marseille, sera défriché au premier trimestre prochain et les travaux de
réacteur commenceront courant 2008.
Il faudra auparavant aménager une route capable d'accueillir les énormes
pièces du réacteur, construites un peu partout dans le monde et qui seront
acheminées depuis le port de Marseille jusqu'à Cadarache.
Mais hormis pour des aménagements locaux, comme la construction de
bâtiments et de zones d'activités dont la Provence espère la création de
quelque 1.500 emplois (sur environ 3.000 en France, directs et indirects),
la majeure partie des appels d'offres ne seront pas lancés avant l'année
prochaine.
La plupart émaneront de l'agence Iter Europe, basée à Barcelone (Espagne)
qui est chargée de gérer la contribution financière de l'UE. L'UE s'est
engagée à financer 50% (12% pour la France) du coût global.
Les Etats-Unis, la Russie, le Japon, la Chine et la Corée du Sud assumeront
chacun 10% du projet. L'arrivée de l'Inde permettra aux partenaires de
disposer en outre d'une réserve stratégique de 500 millions d'euros.
Sur le coût de 10 milliards d'euros, 4,6 mds sont prévus pour la
construction du réacteur. 4,8 mds financeront l'exploitation pendant au
moins 20 ans et 0,5 md sera provisionné pour le démantèlement pendant une
période d'environ 10 à 15 ans.





Dauphins, tortues, oiseaux sont menacés par le changement climatique
2006-11-16
NAIROBI (Source certifiée)
Le changement climatique a des répercussions très importantes sur les
dauphins, baleines, tortues, oiseaux et autres espèces d'animaux
migrateurs, souligne jeudi un rapport du Programme des Nations unies pour
l'Environnement (Pnue).
L'habitat, la nourriture, la santé et la reproduction de ces espèces
subissent de graves modifications, selon ce rapport, dont la publication
coïncide avec la conférence de l'Onu sur le changement climatique organisée
à Nairobi.
Le réchauffement de la planète provoque une diminution de la population
d'animaux migrateurs, ou entraîne leur présence dans des régions où ils
n'étaient pas présents auparavant, a souligné le directeur exécutif du
Pnue, Achim Steiner.
"Les conséquences du changement de l'habitat, de la température, de la
nourriture, se font déjà sentir sur la capacité de ces espèces à survivre
et à se reproduire", a-t-il déclaré.
"La cause de la disparition d'espèces dans certaines régions du monde peut
se trouver à l'autre bout du monde", a-t-il poursuivi.
Parmi les espèces menacées, le rapport de l'Onu cite la baleine de
l'Atlantique nord, dont la principale nourriture, le plancton, diminue en
raison de changements dans les courants océaniques.
Les dauphins blancs à bec sont également en danger car ils ne réussissent
pas à s'adapter au réchauffement des eaux.
"Le réchauffement global peut engendrer des proliférations d'algues et
contribuer aux épizooties", met en garde le rapport, intitulé: "Espèces
migratoires et changement climatique: répercussions du changement
environnemental sur les animaux sauvages".
"La disparition en masse de mammifères marins a augmenté, et lorsqu'il
s'agissait de causes virales, les facteurs environnementaux ont contribué à
la propagation des maladies ou ont diminué les capacités immunitaires des
animaux", selon le rapport.
Les excroissances tumorales, phénomène lié au réchauffement aquatique, sont
ainsi devenues plus fréquentes depuis les années 80 chez les tortues
vertes, relève le Pnue.
La hausse des températures affecte aussi la reproduction chez certaines
espèces de tortues, conduisant notamment à l'augmentation des bébés tortues
femelles, ce qui à terme pourrait menacer la survie de ces espèces.
"La température dans certains nids de tortues dépasse parfois les 34
degrés, ce qui a un effet léthal", selon le rapport.
Chez les oiseaux, les sécheresses plus fréquentes entraînent une
disparition de l'habitat pour la sarcelle de Baikal et la fauvette
aquatique.
La hausse du niveau de la mer, l'érosion des côtes et des vagues de plus en
plus puissantes menacent certaines espèces d'oies migratrices.
"Comme les espèces migratoires utilisent plusieurs variétés d'habitats, (le
changement climatique) peut affecter toute la migration de l'animal",
souligne Paola Deda, une coordinatrice du Pnue spécialisée dans les espèces
migratoires.
Des changements majeurs dans les trajets des animaux ont été enregistrés,
et, dans certains cas, encore rares, des espèces ont abandonné la
migration, a-t-elle noté.
En outre, des espèces se retrouvent désormais dans des lieux où elles ne
venaient jamais auparavant, a-t-elle expliqué, citant notamment des
poissons du sud tels que le rouget, l'anchois ou la sardine, qui
fréquentent désormais la mer du Nord.
Le réchauffement aquatique favorise également la reproduction des dauphins,
dont le nombre augmente, a-t-elle expliqué.
La complexité de la biodiversité, encore mal connue de l'homme, réside dans
l'interdépendance entre des facteurs multiples a souligné Mme Deda.
"C'est souvent après des années que l'on réalise que les changements
survenus sur une espèce peuvent avoir une série de répercussions sur les
autres espèces", a-t-elle conclu.





Incendies de forêt à Bornéo : vers la fin des orang-outangs ?
mardi 14 novembre 2006 par Sylvie CARDONA
Les incendies meurtriers qui ravagent l'Indonésie depuis le mois d'août
risquent de sonner le glas des populations de ces grands singes.
Depuis le mois d'août 2006, les incendies qui ravagent l'Indonésie ont
causé des dommages irréparables aux milieux naturels et aux parcs
nationaux, menaçant gravement la population d'orangs-outangs. A Sumatra, ce
sont plus de 55.000 hectares qui sont partis en fumée.
Bien que les zones forestières soient protégées, les agriculteurs et les
grosses compagnies propriétaires des plantations de palmiers à huile
pratiquent le brulis à grande échelle afin de pouvoir agrandir les surfaces
agricoles et déboiser les forêts à moindre coût. Or la sécheresse qui sévit
depuis plusieurs mois en Indonésie a rendu ces feux incontrôlables et des
milliers d'hectares de forêts ont déjà été détruits. Parmi les animaux
touchés par ces incendies, les orangs-outangs ont payé un lourd tribut. Les
incendies ont cerné le parc national de Tanjung Puting, où se trouve le
camp Leakey, camp de base de Birute Galdikas, et les grands singes affolés
ont tenté de fuir ce danger. La plupart d'entre eux sont morts brûlés et
asphyxiés, les orphelins et rescapés sont récupérés par la fondation Birute
Galdikas. Les singes qui parviennent à gagner les plantations sont traqués,
battus et torturés par les employés locaux. Un journaliste Irlandais a
réalisé un reportage édifiant et éprouvant sur ces pratiques et espère
pouvoir le diffuser sur les chaînes de télévision du monde entier avant la
fin de l'automne.
Ces incendies criminels ont déjà causé la mort de 1.000 orangs-outangs. La
population de ces grands singes est estimée à 12 à 15.000 individus pour
Bornéo et 4 à 6.000 animaux pour Sumatra. La situation des orangs-outangs
est désespérée, d'autant plus que le gouvernement indonésien s'avoue
impuissant à lutter contre ces pratiques, les plantations de palmiers à
huile représentant une manne économique.
Les Fondations s'occupant de ces singes ont un besoin urgent de fonds pour
assurer les soins vétérinaires, acheter la nourriture, convoyer les animaux
par bateaux. Merci d'adresser vos dons à AVES FRANCE qui répartira les
sommes récoltées entre les différentes ONG locales.
http://www.aves.asso.fr/
Sources : fondation Birute Galdikas/Borneo orangoutan Survival Foundation




27 février 2007
La climatisation gagne l'Asie et menace la couche d'ozone
(Agence Science-Presse) - On croyait que le trou dans la couche d'ozone
était en voie de se résorber. Mais un détail avait échappé aux
scientifiques. Les ha