Politiques commerciales par secteur
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fonction de la température ; ...... perdre la traçabilité indispensable, tout en
permettant les man?uvres de camions ou de grues au besoin. ..... Dans l'
exercice de ses attributions, le maître d'oeuvre peut décider à tout moment de
réaliser des ...
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POLITIQUE COMMERCIALE - ANALYSE PAR SECTEUR 1 Introduction Les services continuent de prendre de plus en plus d'importance tandis que
le poids de l'agriculture et de l'industrie manufacturière diminue. La
contribution du secteur des services au PIN et à l'emploi ne cesse de
progresser. Il a fait l'objet d'une série de réformes au milieu des
années 90 et l'État s'est retiré de certaines activités. La compagnie
aérienne nationale (El Al) a été privatisée et les autorités sont en train
de déréglementer et de privatiser les services de télécommunication afin de
réduire la position dominante de l'opérateur public Bezeq. Le marché des
télécommunications devient donc plus concurrentiel. En revanche, le sous-
secteur des services financiers, et en particulier des services bancaires
et d'assurance, reste très concentré. L'industrie manufacturière s'est contractée depuis quelques années. Il y a
une divergence de plus en plus prononcée entre les industries de pointe
(électronique, communications et matériel médical) et les industries
traditionnelles. Les industries de pointe sont très dynamiques et
exportent de plus en plus. Au contraire, les industries traditionnelles
sont en déclin en raison de l'intensification de la concurrence de pays qui
disposent d'une abondante main-d'?uvre bon marché. Cela a contribué à
faire évoluer l'industrie vers la production de marchandises à forte
intensité de technologie et de main-d'?uvre qualifiée, qui sont parmi les
principaux atouts d'Israël. En raison des nombreux accords de libre-échange auxquels Israël est partie,
la plupart des produits manufacturés sont admis à des taux préférentiels
(généralement en franchise de droits). La moyenne simple des taux NPF
appliqués aux produits manufacturés (définition CITI Révision 2) est
modérée, de l'ordre de 7,3 pour cent; néanmoins, quelques branches de
production, telles que l'agroalimentaire, la production de boissons, la
confection de vêtements, la chaussure et la transformation des matières
plastiques, sont protégées par des droits relativement élevés. De façon
générale, la protection tarifaire est plus élevée pour les industries
traditionnelles que pour les industries de pointe. Israël applique
plusieurs autres mesures agissant sur le commerce et la production des
industries manufacturières, notamment des règlements techniques rigoureux
visant un grand nombre de produits. La contribution de l'agriculture au PIN et à l'emploi reste modeste.
Toutefois, grâce à l'emploi de méthodes d'avant-garde, sa productivité est
très élevée. En conséquence, malgré des conditions naturelles peu
propices, notamment le manque d'eau et les déserts qui couvrent une grande
partie de son territoire, Israël a pu préserver une agriculture
d'importance limitée. L'agriculture est largement soutenue par diverses
interventions de l'État, notamment des subventions et des droits de douane
élevés, en particulier pour certains produits laitiers, les fruits et les
légumes. La moyenne simple des droits NPF appliqués aux produits agricoles
(y compris l'équivalent ad valorem des droits autres qu'ad valorem) est de
41 pour cent, mais le taux le plus élevé est de 560 pour cent. Les industries extractives restent marginales. Les autorités prennent des
mesures pour libéraliser la fourniture d'énergie, qui est encore un
monopole d'État très réglementé.
2 Agriculture
1 Aperçu général La part de l'agriculture dans l'économie israélienne est restée
relativement constante (autour de 2 pour cent du PIN) durant la période
examinée, mais la production agricole a augmenté (tableau IV.1). Elle
valait quelque 17,5 milliards de NIS en 2004, dont 36 pour cent étaient
exportés. Les cultures végétales représentent quelque 60 pour cent de la
production agricole totale et les principaux produits sont les légumes et
les fruits et notamment les agrumes. L'élevage et les activités connexes
représentent quelque 40 pour cent de la production agricole, dont 18 pour
cent pour l'élevage de volailles et 15 pour cent environ pour l'élevage de
bovins (tableau IV.2). La part de l'emploi agricole dans l'emploi total
est tombée de 2,9 pour cent en 1999 à 1,9 pour cent en 2004 (tableau I.1). Tableau IV.1
Indicateurs de production agricole, 1999-2004
(Pourcentage de variation annuelle)
| |Moyenn|1999 |2000 |2001 |2002 |2003 |2004 |
| |e | | | | | | |
| |1995-1| | | | | | |
| |998 | | | | | | |
|Production totalea |4,0 |-1,7 |4,4 |3,1 |4,5 |-4,1 |9,3 |
|Intrants |0,2 |-0,1 |1,5 |0,0 |-0,5 |1,8 |2,7 |
|Production brute |8,6 |-3,4 |7,7 |7,0 |10,2 |-11,2 |17,4 |
|Revenu agricole totalb|0,7 |-15,1|-5,3 |15,4 |-7,5 |-6,5 |0,6 |
|Revenu réel du capital|-4,2 |-6,5 |-17,2 |41,5 |-19,1 |-16,4 |-1,0 |
|et du travail non | | | | | | | |
|salarié | | | | | | | | a Calculée sur la base des prix à la production (subventions
comprises).
b À prix constants, déflatés par l'IPC. Source: Banque d'Israël (2004), Annual Report 2003; et données
relatives à 2004 communiquées par le Ministère de l'agriculture. Tableau IV.2
Ventilation de la production agricole, par catégorie de produits et par
destination, 2004
(en pourcentage)
| |2004 |
| |Matières |Exportati|Transform|Consommat|Total |
| |premières|ons |ation |ion | |
| |/ | |dans le |intérieur| |
| |divers | |pays |e | |
|Total |100,0 |100,0 |100,0 |100,0 |100,0 |
|Cultures végétales |62,1 |97,9 |14,1 |74,5 |60,4 |
|Cultures de plein |28,7 |7,7 |3,7 |3,0 |6,7 |
|champ | | | | | |
|Légumes, pommes de |3,0 |32,9 |4,6 |41,7 |24,6 |
|terres et melons | | | | | |
|Agrumes |1,3 |8,7 |1,5 |3,9 |4,1 |
|Cultures de |17,2 |12,8 |4,1 |20,6 |13,4 |
|plantation, sauf | | | | | |
|agrumes | | | | | |
|Fleurs et plantes |0,0 |26,1 |0,0 |5,3 |8,0 |
|ornementales | | | | | |
|Cultures diverses |11,9 |9,6 |0,2 |0,1 |3,5 |
|Élevage et produits |37,9 |2,1 |85,9 |25,5 |39,6 |
|de l'élevage | | | | | |
|Volailles |31,2 |0,8 |37,2 |9,0 |17,8 |
|Bovins |2,4 |0,0 |43,9 |3,0 |14,7 |
|Ovins et caprins |0,7 |0,0 |2,2 |6,0 |2,9 |
|Poissons et |0,0 |1,1 |0,0 |6,1 |2,5 |
|assimilés | | | | | |
|Divers |3,6 |0,2 |2,6 |1,3 |1,7 | Source: Bureau central de statistiques, Statistical Abstract of Israel
2005, tableau 19.17.1. La part des produits agricoles dans le total des exportations de
marchandises n'a cessé de diminuer au cours de la dernière décennie. Elle
atteignait près de 16 pour cent en 1980 et est tombée à 3,9 pour cent en
2004 (tableau IV.3). Les principaux produits d'exportation sont les
légumes, les fruits (notamment agrumes), les fleurs et les plantes
ornementales (tableau IV.2). L'élevage, très tributaire de l'importation
de céréales, est destiné au marché intérieur; il a fourni 1,5 pour cent
seulement des exportations de produits agricoles en 2004. La part des
produits agricoles dans le total des importations a aussi diminué, passant
d'environ 13 pour cent en 1980 à 6,2 pour cent en 2004. Les principaux
produits agricoles importés sont les céréales, les graines oléagineuses, le
bois, le sucre, les viandes, les produits de la pêche et divers produits
tropicaux (cacao et café) destinés à la transformation. Tableau IV.3
Exportations de produits agricoles, 1990-2004
| |1990 |1998 |1999 |2000 |2001 |2002 |
|Fleurs coupées (0603.1000)| | | | | | |
| Exportations | | | | | | |
|subventionnées | | | | | | |
| Dépenses (millions de |1,4 |0,0 |3,2 |2,3 |1,8 |0,4 |
|dollars EU) | | | | | | |
| Quantité (millions |244 |0,0 |354 |526 |430 |430 |
|d'unités) | | | | | | |
| Niveau de l'engagement | | | | | | |
|annuel | | | | | | |
| Dépenses (millions de |10,6 |10,3 |10,0 |9,7 |9,5 |9,2 |
|dollars EU) | | | | | | |
| Quantité (millions |739 |727 |716 |705 |694 |683 |
|d'unités) | | | | | | |
|Légumes (0701-09) | | | | | | |
| Exportations | | | | | | |
|subventionnées | | | | | |