La Dualité en l'Etre Cosmique - Eugenio Siragusa

Le chemin continue pendant des millions et des millions d'années avec le seul
...... NI L'HISTOIRE DE L'ATLANTIDE, NI CELLE DES CONTINENTS MU ET CIA,
CES ...... INTERVENTION EST SUBORDONNEE A UN EXERCICE MENTAL
ACTIF, ...... Actuellement, nous sommes dans le 12ème mois de l'année
cosmique, ...

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Orazio Valenti


L'AIGLE D'OR









De Bharat à Eugenio Siragusa
Notes bibliographiques d'un fis spirituel

























RETOUR AUX SOURCES



Le Soleil se levait à l'occident, lorsque le fleuve alimentait les mers.
Puis, le fleuve se tourna vers l'orient, vers la nouvelle aube choisie par
la Divine Sagesse.
Tu m'as accordé de Te servir, O mon Maître, jusqu'à maintenant, en cet
épilogue des générations passées. L'extase sans temps s'en est allée là où
soufflait le vent glacial des blancs horizons, afin de mieux réchauffer le
frisson des âmes et de courir, avec plus d'impatience, pour retrouver la
Lumière d'un Temps Lointain.
Et c'est ainsi que le Soleil, d'un lieu situé à mi-course entre l'occident
et l'orient de l'humanité, là où tout est né et où chaque destin se
détermine, ce Soleil de Sicile fleurant bon les senteurs mêlées de parfum
d'oranger, de vapeurs de l'Etna et de fleur de sel, m'a réveillé, afin de
rendre témoignage de Ton ?uvre Divine et Immortelle.
Illumine me vibration tout au long du chemin, O Aigle Johannique de la
Roseraie Solaire, afin que je puisse satisfaire à la Piété de
l'accomplissement.





« Dans les derniers temps, Je remplirai de gloire
la voie de la mer, le pays qui est au-delà du
Jourdain, la Galilée des Gentils ».
Isaïe 8/23
























INTRODUCTION

Quelle est la limite entre une voie de l'Extase et une autre ?
La Porte de la sublimation.
Comment dépasser le voile de la Nature Mère ? L'Amour infini de notre
demeure terrestre ? Ses beautés indescriptibles, les sentiments les plus
profonds, qui ont alimenté l'inspiration des artistes, poètes et
philosophes...?
Ce n'est pas dans le devenir conscient limité au niveau intellectuel que
s'ouvre le sésame des nouvelles dimensions. L'esprit se nourrit d'autres
valeurs éternelles, au-delà de ce système de vibration, où les sens
n'existent plus. Une autre nature nous attend où ni la température, ni la
lumière, ni le temps et ni l'espace n'ont plus de limites.
Quand on commence à vivre d'Eternel et d'Infini, c'est alors que le sourire
mélancolique de notre conscience effleure à peine les ondes de cette
dimension d'aubes et de déclins, d'angoisses sans réponse, et qu'il caresse
l'âme fatiguée de mille vies, en la prenant par la main, pour la conduire
au Père, au réveil de chaque pensée.
A quoi bon écrire ce livre ? Je vous fais don de moi-même et non de
l'humain.
Je vous donne ce qui sort à travers moi à cause d'une volonté de réveil,
pour moi et pour vous tous qui aimez cette syntonie et qui me comprenez.
Soyez capables d'être vous-mêmes !
Soyez semblables à l'ouverture de votre désir d'aimer, qui est attente et
accomplissement. Retournez au point infini, générateur de votre souffle, à
travers chaque aube que le destin amène.
Dans ce travail, j'explique que mon Maître est l'Esprit Divin de Jean émané
par le Père du Système Solaire ou Poimandres.
Eugenio est l'instrument sensible de Poimandres et il en reflète
continuellement l'enseignement, ainsi que l'inspiration dans sa vie
pratique quotidienne. Mes pas et quelques aspects de ma vie à ses côtés
sont sans doute parmi les pires, mais c'est le seul encadrement pur et
simple par lequel je réussis à décrire sa vie. Il me pardonnera.
Le mélange du présent et du passé n'a pas de sens historique, mais il est
l'exemple d'une aspiration à un continuel présent, pour rendre témoignage
au Feu de la Sublimation qui brûle dans l'âme de chaque initié.
Je n'ai pas mis la liste des anciens écrits d'Eugenio, soit parce que
d'autres l'ont déjà fait, soit parce que je n'ai pas le goût des archives,
dès lors que je désire communiquer l'esprit qui en anime l'écoute du Verbe
et la lecture extatique pour celui qui, comme beaucoup d'autres, est touché
par les rayons du Soleil d'Amour.
L'Amour de la Conscience est Patience infinie.
Etre en Dieu signifie aimer comme Lui aime et aimer les autres pour eux-
mêmes.
Ce n'est ni faiblesse, ni implication, mais détachement dans la catharsis
momentanée de la souffrance, qui offre la consolation par les plans de la
Justice, l'expression maximale d'Amour, parce qu'elle est la conscience du
Vrai Supérieur, ni «leçon» ni «punition».
Si je t'aime, je te suis proche, à te pousser vers le réveil, à chaque pas,
avec patience infinie. Si je n'ai pas cela, je suis ignare, présomptueux,
je vis moi aussi dans la haine et je ne poursuis pas la lumière.
Le matérialiste pense qu'il peut en profiter, mais pour le Sage, tous les
moyens sont bons pour enseigner. Et lorsque la conscience de l'agresseur
s'éveille, il comprend qui était le vrai ingénu de l'Esprit. L'ingénuité
matérielle est une force que je porte en moi et qui me fait vivre
l'éternelle jeunesse. Jean dit: «Les Fils du Soleil ne vieillissent
jamais».
De temps en temps, je recevais des impulsions intérieures qui m'indiquaient
où me concentrer, et de quoi me souvenir du passé et du futur. Un guide
astral qui s'est réfléchie en tensions d'âme... particulièrement à travers
des dédoublements en rêve:
6-'77: ...Eugenio m'appelle en astral, il me dit d'un air sérieux de copier
ses anciens écrits. Je lui dis que je connais déjà les discours sur le Tout
de Poimandres. Souriant, il me conseille de n'en point parler, ce sont des
autoréalisations.
3-'94: ...je reçois le prix olympique du triple saut, un plateau contenant
une plume et autre chose. Je n'attache pas d'importance au prix, mais je
recueille la plume sous un cylindre de lave...
9-'94: ... je me trouve avec un groupe de personnes et je découvre dans un
angle du bord de mer un gros squelette de barque et un homme qui ramasse
ses filets.
Cette figure s'illumine d'une couleur or et devient une lumière aveuglante;
je me sens attiré et je m'en vais, en laissant tout. C'était Eugenio. A
peine suis-je arrivé que tout s'éteint et redevient naturel. Eugenio
m'accueille et me parle...
8-'95: ... je me présente, appelé, devant Eugenio (comme dans un
dédoublement de 1973 dans lequel il m'avait appelé pour me donner des
instructions à côté du Consolateur, puis m'avait ordonné de me mettre en
position pharaonique, il me salue et je me réveille dans mon
lit)....Maintenant, il me dit de prendre un calepin orange et me pose des
questions sur la conscience psychologique, planétaire et universelle.
Pendant que je réponds correctement et avec sérénité, je m'éveille...
... tout de suite après, je me rendors et je découvre un groupe de voleurs
avec un coffret contenant beaucoup de bijoux. Je reconnais tout de suite le
corindon avec la gravure de l'aigle d'Eugenio; je le prends, ainsi qu'un
diamant. Je cours immédiatement chez Eugenio et je me souviens que c'est la
troisième fois que je lui rapporte la bague perdue. Je suis heureux.
9-'96 : ...Nous étions dans la pénombre et Jésus me parlait.
Je me souviens de cette phrase : « Le lieu de la purification se trouve
dans un certain endroit du désert où le sable est blond doré ».
Un petit peu plus tard, le visage d'Eugenio m'apparaît, illuminé, souriant
et un peu penché, et il me dit :
« Ecrivons notre Evangile ». Je lui réponds, en montrant ma main à
tous : « C'est toi qui l'écris, moi je n'y mets que la main et la plume ».
Il continue à sourire.

C'est au mois d'août, en Sicile, que me revient la mémoire des faits, des
réalisations, des dynamismes spirituels de mon instructeur, mon Père
Spirituel.
C'est comme la brise qui apaise doucement à l'ombre d'un olivier et qui
secoue l'âme en la reportant aux anciens moments des sereins enseignements,
dans l'harmonie des gestes et la profondeur des paroles, qui éclairent la
voûte de l'Univers visible et invisible, et donnent le temps de comprendre,
au cours de cette vie et des vies futures.
Une brise qui apporte, d'une autre manière, les mêmes odeurs que celles
provenant, avec la chaleur étouffante, des figues et des cigales. Et il te
semble étrange que de cette atmosphère suffocante se régénère un léger
vent aussi frais, avec le parfum intense de la Sicile éternelle.
Et tandis que tu relâches ta résistance à la chaleur accablante, tu
t'assieds sur un petit mur de pierres de lave millénaires, tachées de
lichens orange et, poussant un long soupir, ton regard va, au-delà des
abrupts aux tiges desséchées, se perdre d'enchantement dans le bleu de la
mer Ionienne.
L'Ionienne ! Criblée de petits points blancs, elle t'inonde d'émotions
qu'aucune salinité n'a jamais pu effacer.
Alors mes pensées tremblent d'angoisse, hors du temps, et se laissent
bercer par les rayons subtils filtrant à travers les frondaisons, et je
m'en remets à Lui, au Père Divin qui m'a toujours poussé, toujours appelé
à me réveiller, à savoir et à Le servir. Et je me retrouve moi-même, et je
ne voudrais plus me détacher de ce Songe de la Réalité.
Tu m'as accordé de te rester proche encore une fois, Aigle de Jean, même si
je ne le mérite pas et en suis indigne, et tu m'accordes d'écrire sur toi,
sur ton ?uvre Eternelle, sur les sanglots que ton Esprit Solitaire de
Voyageur Cosmique a versés le long des sentiers de cette humanité
terrestre, en apportant, par la vibration de ton être et de tes paroles,
la Coupe de la Sagesse d'Hermès, douce comme les ailes d'une Colombe de
Lumière, juste comme le regard de l'Aigle Créateur et ferme comme ses