N° du livre - Exercices corriges

Eté 1944/ LA france se libère du joug nazi. un symbole de l'occupation ...... on a
envie de dire: un « prof de cheval », comme il y en a de maths ou de lettres. ...... Il
faut alors suivre Bodard quand il redevient envoyé spécial à la cour de Ts'eu Hi,
...... Elle décède le 19 août 2012 des suites d'une grave maladie pulmonaire.

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N° |Titre du livre |Résumé | |
|100|La lumière du |"Quand je serai grand, je deviendrai hussard ou dragon. J'aurai un beau |
|1 |matin (1) |costume, de grandes bottes et un sabre". Honoré, le gamin qui prononce ces |
| | |paroles, est encore en sabots, il dévale les pentes de son village entre Rhône|
| | |et montagne en tenant par la main la jolie petite Marion. Il ignore que sa |
| | |bravade d'enfant deviendra âpre réalité, qu'il sera arraché à son village, à |
| | |son premier amour et qu'il ne construira jamais pour sa jeune promise la ferme|
| | |de leurs rêves, la Désirade. Emporté par le bruit et la fureur de 1789, il |
| | |n'en oublie pourtant pas son Ardèche natale où il compte bien retourner, une |
| | |fois la paix retrouvée. Le sort, hélas, en décidera autrement. |
| | |Conteur attachant, à la fois alerte et émouvant, Exbrayat a le don de faire |
| | |aimer ses personnages, des êtres vrais qui empoignent la vie. Il fait aussi |
| | |une merveilleuse évocation de la vie rurale à la fin du 18ème siècle, dans la |
| | |région d'Annonay. |
| | |Suite dans "Le Chemin perdu", "Les Soleils de l'automne" et "La Désirade". |
|100|Le chemin perdu |L'épopée napoléonienne a pris fin. L'ex-dragon de l'armée impériale Honoré |
|2 |(2) |Versillac - le héros de La Lumière du matin a été lâchement assassiné, pour |
| | |n'avoir pas voulu crier « Vive le Roi ! ». Le meurtre est vengé; le petit |
| | |village de Tarantaize retrouve peu à peu le calme, mais, sans la droiture du |
| | |maire et du curé, sans l'énergie de la vieille Élodie, la famille d'Honoré |
| | |serait réduite à la pire des misères. |
| | |Ce beau roman d'Exbrayat, second tome du cycle Les Bonheurs courts, nous |
| | |raconte l'enfance et la jeunesse d'Armandine, la fille d'Honoré, dont le |
| | |caractère est aussi entier, aussi résolu que celui de son père. |
| | |Autour d'elle, le monde s'agite, le monde change. Sous les règnes successifs |
| | |de Louis XVIII le podagre et du médiocre Charles X, l'industrie se développe |
| | |et l'on construit les tout premiers chemins de fer. Tarantaize découvre enfin |
| | |la ville de Saint-Étienne, à peine distante de quinze kilomètres. D'autre |
| | |métiers, un nouveau mode de vie, qui séduisent les campagnards et les attirent|
| | |dans les ateliers. |
| | |Et pourtant, la révolte grande déjà, chez les canuts de Lyon, chez les |
| | |passementiers de Saint-Étienne... Entre son désir de fidélité à la mémoire des|
| | |siens et la promesse d'un autre avenir, entre sa volonté de réussite sociale |
| | |et ses aspirations amoureuses les plus profondes, la jeune Armandine |
| | |saura-t-elle trouver sa voie ? Ne perdra-t-elle pas le juste chemin ? |
|100|Les soleils de |Troisième opus de la série « Les bonheurs courts », Charles Exbrayat fait |
|3 |l'automne, les |revivre ces quarante années qui bouleversèrent le monde à travers le destin |
| |bonheurs courts |d'un jeune provincial, bâtard et roturier. Exploits martiaux, aventures |
| |(3) |amoureuses, luttes pour le bonheur ou pour la simple survie. |
| | |Charles Exbrayat nous donne avec ce livre sensible et émouvant l'une de ses |
| | |plus belles réussites romanesques. |
|100|La Désirade (4) |Suite et fin de "La lumière du matin", "Le chemin perdu" et "Les soleils de |
|4 | |l'automne". |
| | |Armandine et sa fille Charlotte ont quitté Saint-Etienne.Sur les hautes |
| | |collines où se blottit le village de Tarentaize, la vie citadine n'est plus |
| | |qu'un souvenir. Les deux femmes continuent à s'affronter. Le petit-fils |
| | |d'Armandine, Joseph, rebelle dès l'enfance, quitte lui aussi son village natal|
| | |pour faire le tour de France des compagnons charpentiers. Il finira par |
| | |revenir au pays où l'attend Thélize, sa promise dès le berceau. C'est pour eux|
| | |que se réalisera le rêve, vieux d'un siècle maintenant, d'une ferme dont ils |
| | |seront propriétaires et où ils vivront : "La Désirade". |
| | |Le style d'Exbrayat nous fait sentir le rythme des saisons, retrouver la |
| | |saveur du bon pain et le parfum du foin coupé. Il sait raconter la patience et|
| | |la force de ces femmes qui luttent toujours du côté de la vie. |
|100|Vanda - La révolte|Au milieu des plus grands actes de sauvagerie qui secouent alors, en 576, une |
|5 |des nonnes |Gaule livrée aux luttes des reines Frédégonde et Brunehaut, demeure le couvent|
| | |de Sainte-Croix. Cette communauté de femmes, c'est celle qu'a réunie la reine |
| | |Radegonde du jour où elle décida de se consacrer à Dieu. |
| | | |
| | |Là, dans l'enceinte du premier couvent féminin d'Occident, grandira Vanda, |
| | |qu'on vient de remettre à la sainte fondatrice après l'avoir arrachée à la |
| | |chaleur d'une louve. Goûtant toute la tendresse de Radegonde, Vanda ne peut |
| | |oublier qu'elle est d'abord " l'enfant des loups ". |
| | | |
| | |La Révolte des nonnes restitue le climat d'une des périodes les plus riches de|
| | |l'histoire de France à travers le déchirement qu'éprouve Vanda. Possédée d'une|
| | |rage de vivre animale et débordante de sensualité, elle mesure aussi la |
| | |précarité des îlots de civilisation que menacent déjà les hordes barbares. |
| | | |
| | |Le grand feuilleton télévisé de Philippe Monnier, intitulé L'Enfant des loups,|
| | |avec Marisa Berenson, Marie-Christine Barrault, Caroline Sihol, Laure Marsac, |
| | |est l'adaptation de ce roman de Régine Deforges. (Coproduction |
| | |FR3/CINETEVE/RTVE, avec la participation d'Antenne 2.) |
|100|La goutte d'or |Donne-moi la photo. |
|6 | |Idriss gardait ses chèvres et ses moutons non loin de l'oasis de Tabelbala |
| | |quand une Land Rover a surgi. Une jeune femme blonde aux jambes nues a pris en|
| | |photo le petit berger saharien. Sa photo, elle la lui enverra dès son retour à|
| | |Paris. Idriss a attendu en vain. Son image volée ne lui a pas été rendue. Plus|
| | |tard, quand il va partir vers le nord et jusqu'à Paris pour chercher du |
| | |travail, il va se heurter à des images de lui-même qu'il ne reconnaîtra pas. |
| | |Perdu dans un palais de mirages, il s'enfoncera dans la dérision jusqu'à ce |
| | |qu'il trouve son salut dans la calligraphie. Seul le signe abstrait le |
| | |libérera de la tyrannie de l'image, opium de l'Occident. |
|100|Le manège d'hiver |Ce roman nous mène de la veille de la Première Guerre mondiale aux lendemains |
|7 | |calcinés de la Seconde, et des dernières fêtes de la vieille Europe à |
| | |l'insubmersible Irlande, perdue dans ses brumes. |
|100|Turreau et les |Pendant qu'à Paris la Révolution s'épuise, Turreau, en Vendée, s'essoufle à |
|8 |colonnes |massacrer et à brûler. L'histoire de ce massacre. |
| |infernales | |
|100|La Terreur bleue |La décision de la Convention, le 23 février 1793, de mobiliser trois cent |
|9 | |mille hommes pour faire face aux nécessités de la guerre, provoque dans de |
| | |très nombreux villages des départements de l'Ouest une vive opposition allant |
| | |jusqu'à la lutte armée. |
|101|Les courriers de |Contre la porte du cimetière de Barles, près de Digne, il y a une boîte aux |
|0 |la mort |lettres qu'on ne remarque jamais. Pourtant, dans les années soixante, |
| | |l'assassin à la belle écriture l'a parfois utilisée. C'était l'époque où |
| | |Pencenat Emile creusait sa tombe, dimanche après dimanche. Il a