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Texte. Polly et le loup. Polly est une petite fille. Elle joue des tours à un loup qui
...... Aujourd'hui, Natacha fait sa première rentrée dans une école où elle va être ...
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FAIRE DE LA GRAMMAIRE
AU CE2
Textes, textes transposés, collectes, évaluations
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Séquences de la période 1
Septembre - Octobre
Semaine 1
Texte
Polly et le loup
Polly est une petite fille. Elle joue des tours à un loup qui ne pense qu'à
la manger.
Un matin, Polly descend la grand-rue, quand elle voit le loup sur l'autre
trottoir. Il fait de drôles de choses : tantôt, il tire la langue aux
passants, tantôt il danse et trépigne sur place.
Dans cette rue pleine de monde, Polly n'a pas peur du loup. Elle traverse
et s'approche du loup qui fait des grimaces à un bébé dans son landau.
« Loup, dit-elle, tu te conduis comme un voyou. Qu'est-ce qui te prend ?
Le loup fait un bond d'un mètre vingt et retombe comme une loque, en
tremblant de tous ses membres.
- Tu m'as fait peur, dit-il d'une voix faible. Comment sais-tu que je suis
ici ?
- Ne dis pas de bêtises. Bien sûr que tu es ici ! Je te vois bien !
- Tu me vois ? dit le loup, très surpris.
- Naturellement. Et je vois aussi que tu te conduis mal. Je n'ai jamais
rien vu de semblable.
- Mais non, tu ne me vois pas, proteste le loup, puisque je suis
invisible. »
D'après Catherine Storr, Polly la futée et cet imbécile de loup © Nathan,
1980, © Pocket, 2001.
Texte transposé
Polly, Lola et le loup
Polly et Lola sont des petites filles. Elles jouent des tours à un loup qui
ne pense qu'à les manger.
Un matin, Polly et Lola descendent la grand-rue, quand elles voient le loup
sur l'autre trottoir. Il fait de drôles de choses : tantôt, il tire la
langue aux passants, tantôt il danse et trépigne sur place.
Dans cette rue pleine de monde, Polly et Lola n'ont pas peur du loup. Elles
traversent et s'approchent du loup, qui fait des grimaces à un bébé dans
son landau.
« Loup, disent-elles, tu te conduis comme un voyou. Qu'est-ce qui te
prend ?
Le loup fait un bond d'un mètre vingt et retombe comme une loque, en
tremblant de tous ses membres.
- Vous m'avez fait peur, dit-il d'une voix faible. Comment savez-vous que
je suis ici ?
- Ne dis pas de bêtises. Bien sûr que tu es ici ! Nous te voyons bien !
- Vous me voyez ? dit le loup, très surpris.
- Naturellement. Et nous voyons aussi que tu te conduis mal. Nous n'avons
jamais rien vu de semblable.
- Mais non, vous ne me voyez pas, proteste le loup, puisque je suis
invisible. »
Collectes de la semaine 1
Elle joue des tours au loup.
Elle traverse.
Elles jouent des tours au loup.
Elles traversent.
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Elle voit le loup.
Elles voient le loup.
Je te vois bien.
Nous te voyons bien.
Tu me vois ?
Vous me voyez ?
Elle dit : [...] - Elles disent : [...]
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Polly est une petite fille.
Polly et Lola sont des petites filles.
Je suis invisible.
Tu es ici.
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Polly n'a pas peur du loup. Polly et Lola n'ont pas peur du loup.
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Polly n'a pas peur du loup. Polly a peur du loup.
Je n'ai jamais rien vu de semblable. J'ai déjà vu quelque chose de
semblable.
Tu ne me vois pas. Tu me vois.
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le loup
un bébé
son landau
Polly et Lola
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une voix faible
Semaine 2
Texte
Renart vole des poissons
Cet hiver, Renart n'a plus rien à manger ; il va au bord d'un chemin ; là,
il entend la charrette des poissonniers qui vont vendre leur chargement à
la ville.
Des poissons ! Des anguilles ! Renart a faim. Il en bave d'envie. Il jure
d'en avoir sa part. Il se couche en travers du chemin, raidit ses pattes,
ferme les yeux, retient son souffle, fait le mort.
Les marchands arrivent. Ils sautent à terre, s'approchent, retournent
Renard de droite et de gauche, le pincent et le soupèsent.
- Il est crevé, dit le petit.
- La belle fourrure ! dit le grand. Ça vaut de l'argent !
- Emportons-le...
Les hommes jettent la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se
remettent en route, en riant de l'aubaine.
Alors, sans perdre un instant, Renard travaille des mâchoires. Hap ! Hap !
Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il mange les
lamproies, les soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne
peut plus bouger.
D'après Le Roman de Renart © Flammarion, 2008.
Texte transposé
Les renards volent des poissons
Cet hiver, les renards n'ont plus rien à manger ; ils vont au bord d'un
chemin, là ils entendent la charrette des poissonniers qui vont vendre leur
chargement à la ville.
Des poissons ! des anguilles ! Les renards ont faim. Ils en bavent d'envie.
Ils jurent d'en avoir leur part. Ils se couchent en travers du chemin,
raidissent leurs pattes, ferment les yeux, retiennent leur souffle, font
les morts.
Les marchands arrivent. Ils sautent à terre, s'approchent, retournent les
renards de droite et de gauche, les pincent et les soupèsent.
- Ils sont crevés, dit le petit.
- Les belles fourrures ! dit le grand. Ça vaut de l'argent !
- Emportons-les...
Les hommes jettent les bêtes sur leurs paniers, et, (youp ! hue !) se
remettent en route, et riant de l'aubaine.
[...] Alors, sans perdre un instant, les renards travaillent des
mâchoires. Hap ! hap ! ils engloutissent vingt harengs sans respirer. Hap !
hap ! hap ! ils mangent les lamproies, les soles. Ils avalent, se régalent
et dévorent tant qu'à la fin ils n'en peuvent plus.
Collectes de la semaine 2
Renart bave d'envie.
Il avale, il dévore.
Renart travaille des mâchoires.
Les marchands arrivent.
Ils sautent.
Les renards bavent d'envie.
Les renards travaillent des mâchoires.
Ils avalent, ils dévorent.
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Il fait le mort. Ils font les morts.
Il ne peut plus bouger. Ils ne peuvent plus bouger.
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Renart a faim.
Les renards ont faim.
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Il va au bord d'un chemin.
Ils vont au bord d'un chemin.
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Il ne peut plus bouger. Il peut encore bouger.
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les marchands
des poisonniers
des poissons
des anguilles
vingt harengs
ses pattes - leurs pattes
la bête - les bêtes
leurs paniers
l'argent
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la belle fourrure
Semaine 3
Texte
Le lion dans la neige
Lion marcha, marcha... Au coucher du soleil, la jungle était déjà loin. Sur
les sombres collines, il faisait frais. Lion n'avait plus chaud, mais il
était très fatigué. Il s'allongea et s'endormit aussitôt.
Lorsque Lion s'éveilla, il grelotait de froid. Il était recouvert d'une
douce couverture blanche. Seul le bout de sa queue dépassait.
Lion se leva et se secoua. Il prit une poignée de la chose douce, blanche
et fraiche. Avait-elle une odeur ? Il la sentit... Elle n'avait pas
d'odeur. Avait-elle un gout particulier ? Il la gouta... Elle n'avait pas
de gout.
Lion fit quelques pas. Ses empreintes le suivaient. Puis il se mit à
courir. Il voulut s'arrêter mais glissa et voltigea.
David McPhail, Un lion dans la neige, traduction de Marie Saint-Dizier ©
Éditions Gallimard Jeunesse.
Textes transposés
Lion dans la neige
Lion marche, marche... Au coucher du soleil, la jungle est déjà loin. Sur
les sombres collines, il fait frais. Lion n'a plus chaud, mais il est très
fatigué. Il s'allonge et s'endort aussitôt.
Lorsque Lion s'éveille, il grelotte de froid. Il est recouvert d'une douce
couverture blanche. Seul le bout de sa queue dépasse.
Lion se lève et se secoue. Il prend une poignée de la chose douce, blanche
et fraiche. A-t-elle une odeur ? Il la sent... elle n'a pas d'odeur. A-t-
elle un gout particulier ? Il la goute... elle n'a pas de gout.
Lion fait quelques pas. Ses empreintes le suivent. Puis il se met à courir.
Il veut s'arrêter mais glisse et voltige.
Vous, les lions dans la neige
Vous marchez, marchez... Au coucher du soleil, la jungle est déjà loin. Sur
les sombres collines, il fait frais. Vous n'avez plus chaud, mais vous êtes
très fatigués. Vous vous allongez et vous vous endormez aussitôt.
Lorsque vous vous éveillez, vous grelotez de froid. Vous êtes recouvert
d'une douce couverture blanche. Seul le bout de votre queue dépasse.
Vous vous levez et vous vous secouez. Vous prenez une poignée de la chose
douce, blanche et fraiche. A-t-elle une odeur ? Vous la sentez... elle n'a
pas d'odeur. A-t-elle un gout particulier ? Vous la goutez... elle n'a pas
de gout.
Vous faites qu