Intitulé : Brevet de pratiques en Ecopédagogie -session 2

Language focus A 11 Language focus I 108. Contextual reference Giving
examples. Unit 2 13 Unit 10 110. Portable computers 13 Computers in medicine
110 ..... Exercise 2. Using the line reference given, look back at the reading
passage in Unit 1, page 6, and find the reference for the words in italics. 1
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Institut d'Eco-Pédagogie
Rue de Pitteurs, 20
4020 LIEGE
04/366.38.18
www.institut-eco-pedagogie.be
Dossier de demande de reconnaissance
Dans le cadre du décret du 17 juillet 2003 relatif au soutien de l'action
associative dans le champ de l'Education permanente
Exercice 2011 Composition du dossier de demande de reconnaissance
Conformément aux exigences stipulées par le décret, le dossier de demande
de reconnaissance est composé de : - Partie 1 : l'identification de l'IEP ; la nature de demande de
reconnaissance ; la note de présentation de l'association ; les axes
d'action retenus ; le plan d'action pluriannuel
-
- Partie 2 : sur CDRom : IEP - EP-2011 TRACES
- Traces pour l'axe formation (IEP-Axe2) et outils produits au cours de
l'exercice 2011 (IEP-Axe31)
-
- Les références aux annexes sont précisées par le sigle ( avec les
références des documents cités.
-
- Partie 3 : documents connexes à la reconnaissance (statuts de l'asbl,
composition des organes dirigeants, attestation d'existence d'un
compte bancaire). TABLE DES MATIERES
Composition du dossier de demande de reconnaissance 2
1) Identification de l'association 5
2) Nature de la demande de reconnaissance : 6
3) Note de présentation de l'association 7
a) Présentation de l'IEP 7 1. L'historique et l'environnement social et culturel dans lequel l'IEP
développe son projet 7
2. La relation entre l'objet social et l'article 1er du décret 9
3. L'ancrage dans le monde associatif 13
4. Description succincte des principaux types d'activités réalisées 16 b) Soutiens financiers dont bénéficie l'IEP 18 c) Equipe sur laquelle s'appuie l'action de l'association 19
4) Les axes d'actions retenus par l'association : Axe 2 et 3.1 22
Axe 2 : Production de services, de documentation, en ce compris la mise à
disposition de celle-ci, d'outils pédagogiques et/ou culturels 106 a) Les projets de formation développés : définition et enjeux 22 1. Le projet « Brevet de pratiques en écopédagogie » (BPEP) 22
2. Le projet d'initiative propre « Oh Loup » 28
3. Formations pour le secteur scolaire 28
4. Projets ponctuels à la demande du secteur associatif 29 b) La démarche déployée de manière à faire comprendre la nature et les
modalités de l'action valorisée dans l'axe 2 30 5. Les publics visés et les publics touchés 30 d) Moyens mis en ?uvre pour assurer la participation active du public 35 e) Moyens mis en ?uvre pour stimuler la réflexion critique des participants
par rapport aux contenus des formations et à leur articulation avec
l'action associative qu'ils développent ou envisagent de développer 41 f) Les outils pédagogiques produits ou diffusés en relation avec les
formations 44 g) Procédures d'évaluation avec les participants (adéquation de la
formation suivie avec leurs attentes, mesure des acquis de la formation)
46 c) Synthèse des activités de formation 52
Axe 3.1 : Production de services, de documentation, en ce compris la mise à
disposition de celle-ci, d'outils pédagogiques et/ou culturels 106 a) Services proposés : définitions et enjeux 106
1. Production d'information 106
2. Gestion et diffusion de l'information 110
3. Expertise pédagogique 111
4. Les enjeux que nous poursuivons 113 b) Démarche déployée 118 c) Moyens mis en ?uvre pour assurer l'accessibilité des associations et/ou
publics visés (manière dont les contenus sont choisis et développés ;
description détaillée des moyens d'information/communication) 119 d) Moyens mis en ?uvre pour assurer le développement d'un processus
participatif avec les associations et/ou les publics visés au niveau de la
préparation et/ou de l'exploitation des réalisations produites 121 e) Méthodes mises en ?uvre pour stimuler la réflexion critique des
associations et/ou des publics visés 121 f) Procédures d'évaluation des services avec les associations et/ou les
publics visés 122
g) Indicateurs définis pour permettre d'apprécier si les objectifs
poursuivis à travers les services offerts et les réalisations produites ont
été atteints 123 h) Impact territorial (lieux de mise à disposition des services, de
diffusion des réalisations, provenance de public et/ou de participants...)
128 c) Détail des réalisations produites 129 5) Plan d'action pluriannuel 2012-2017 145
1) Identification de l'association Nom : Institut d'Eco-pédagogie
Sigle : IEP
Adresse du siège social : 20, rue de Pitteurs à 4020 Liège
Adresse du siège d'activité : idem
Téléphone : 04/366.38.18
Fax : 04/366.29.24
E-mail : info@institut-eco-pedagogie.be
Site internet : www.institut-eco-pedagogie.be
Numéro de compte bancaire : BE92001241039723
Numéro d'entreprise : 445550395 Correspondante : Christine Partoune
Adresse : 20, rue de Pitteurs à 4020 Liège
Téléphone : 04/366.38.18
Fax : 04/366.29.24
E-mail : C.Partoune@ulg.ac.be 2) Nature de la demande de reconnaissance : Association
Mouvement Axe 2 Catégorie de forfait : 15 points
Champ d'action territorial : Fédération
Wallonie-Bruxelles (principalement provinces de
Liège et de Namur) Axe 3, 1 Catégorie de forfait : 30 points
Champ d'action territorial : Fédération
Wallonie-Bruxelles + francophonie ailleurs dans
le monde. 3) Note de présentation de l'association
a) Présentation de l'IEP
1. L'historique et l'environnement social et culturel dans lequel l'IEP
développe son projet
L'Institut d'Eco-Pédagogie (IEP) s'est constitué en A.S.B.L. en mai 1991,
après trois ans de travail en association de fait. Il se fait que c'est en
1988, à Roisin, qu'eurent lieu les premières rencontres des acteurs de
l'Education relative à l'Environnement (ErE) en Belgique francophone, à
l'issue de quoi est née l'idée de proposer une formation innovante en la
matière. Ces acteurs ressentaient le besoin de se démarquer de la formation
« guides-nature » existante et d'initier une véritable recherche afin de
mettre au point des façons de faire différentes. En effet, les méthodes de
sensibilisation existantes étaient le plus souvent très classiques (des
ballades « nature » commentées par un guide) et centrées sur l'acquisition
de connaissances. Elles cadraient mal avec les objectifs de l'éducation
relative à l'environnement définis à plusieurs reprises au niveau
international dans les années septante : Le but de l'éducation relative à l'environnement est de « former, à
l'échelle mondiale, une population consciente et préoccupée de
l'environnement et des problèmes qui s'y rattachent et qui, par son savoir,
sa compétence, son état d'esprit et son sens de l'engagement, sont en
mesure de contribuer collectivement et individuellement à résoudre les
problèmes et à éviter qu'il s'en pose de nouveaux pour l'avenir. » (Charte
de Belgrade, octobre 1975). Le Conseil de l'Europe s'est lui aussi intéressé à l'ERE et, en 1981, il
adopta la définition suivante dans l'une de ses recommandations : « L'ERE vise à reconnaître des valeurs et à clarifier des concepts en vue
de développer les aptitudes et les attitudes nécessaires pour saisir et
apprécier les rapports entre l'homme, sa culture et son milieu
biophysique ». Cette nouvelle formulation des objectifs de l'ErE se démarque de la
résolution de problèmes pour se centrer sur une perspective que nous
appellerons aujourd'hui d'« ancrage local ». Des méthodes innovantes en ErE commencèrent à voir le jour dans les pays
anglosaxons. En francophonie, par contre, la place et les manières de faire
des naturalistes restèrent longtemps dominantes, étant en cela en réel
décalage avec le reste du monde socioculturel où les pédagogies actives et
participatives fleurissaient depuis la fin des années 60. En Belgique francophone, plusieurs animateurs/trices en éducation à
l'environnement étaient conscientes de cet écart. C'est ainsi qu'en 1988,
dans le prolongement des conclusions des rencontres à Roisin, six
partenaires associatifs, réunis en association de fait sous le nom
d'Institut d'Eco-pédagogie[1], ont décidé de travailler ensemble pour
construire un programme de formation innovant en Belgique francophone :
Education-Environnement, Nature et Loisirs, le Parc Naturel Hautes Fagnes-
Eifel, le Centre permanent d'éducation à la conservation de la nature de
Mariemont, le Campagnol et Pro-bio. L'appellation « Institut d'Eco-pédagogie » se voulait en résonance avec
l'Institut d'Eco-conseil, lui aussi en train de naître à Namur, qui
inaugura en 1989 sa première session de formation, essentiellement centrée
sur l'acquisition de compétences scientifiques et techniques, alors que
l'IEP se spécialisait dans la pédagogie de l'environnement.
Dans le même temps, et en complémentarité avec l'IEP, 64 associations et
institutions wallonnes et bruxelloises ont fondé le Réseau IDée (Réseau
d'Information et de diffusion en éducation à l'environnement) en 1989. En tant qu'association de fait, l'IEP a bénéficié de l'appui de la
Fondation Roi Baudouin et de la Loterie Nationale afin d'explorer la
faisabilité de la mise sur pied en Communauté française d'une formation
longue en écopédagogie. Sur base d'un état des lieux de ce qui existait en
Europe et ailleurs, un programme de formation de 300 h a été défini,
aboutissant à une certification en écopédagogie. Malgré ses qualités, ce
projet fut jugé trop avant-gardiste par